Devoir de Français

Le débat sur la distinction « drogues dures/drogues douces » est-il fondé ?

Publié le 16/02/2023

Extrait du document

« Sujet Le débat sur la distinction « drogues dures/drogues douces » est-il fondé ? Ce sujet est corrigé selon un plan détaillé afin de mieux saisir les articulations essentielles du développement. Analyse du sujet Le sujet est un sujet d'actualité, suscitant un débat public et lié à l'activité des forces de l'ordre. Aucun des termes ne pose de difficulté. Problématique Ce sujet implique de prendre une position personnelle, tranchée et argumentée.

En aucun cas vous ne devez répondre « oui » et « non » à la fois.

Les plans du type Oui/Mais ou Pour/Contre sont donc à proscrire. Sans sectarisme, vous devez prendre parti.

Chaque point de vue est admissible par le jury, pour peu que ce point de vue soit argumenté et réfléchi. Construction du plan Dans ce sujet, la construction du plan dépendra étroitement de votre réponse. Dans notre cas, nous choisirons de considérer que la distinction entre drogues dures et drogues douces n'a pas de réelle pertinence • Toutes constituent des drogues dangereuses • t.:économie de la drogue et la répression pénale Corrigé lntroducUon La drogue fait de plus en plus de victimes.

D'après le ministère de l'Intérieur, 800 000 Français y ont « touché », dont les trois quarts l'ont découverte, avant leur majorité, en milieu scolaire.

D'après un rapport d'un centre spécialisé dans la prise en charge de toxicomanes, le premier contact avec le produit se fait vers l'âge de 15 ans (73 % des drogués ont commencé entre 13 et 16 ans), la première prise d'héroïne vers 18 ans et la demande d'aide à 21 ans, soit trois ans pour l'escalade vers la drogue dure.

De plus, on note que ce sont les jeunes de 12-14 ans qui « sniffent » les produits toxiques (colles et solvants). Un jeune est fragile psychologiquement et facilement influençable.

De peur d'être mis à l'écart ou face à de nombreuses tentations, il peut accepter de consommer de la drogue, cependant, il n'en existe pas d'inoffensives et les revendeurs recherchent les jeunes comme cibles privilégiées. Devant ce tableau particulièrement inquiétant, on peut légitimement s'interroger sur la pertinence de la distinction entre drogues « dures » et drogues « douces ». Première partie.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles