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Quel métier rêvez-vous d'exercer ?

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« Introduction Je crois que c'est à la nuit des temps que remonte ma vocation, car je me vois encore, toute petite fille, faisant des piqûres à ma poupée tout en la rassurant et en lui expliquant le bien-fondé de l'opération.

Ma vocation de médecin n'a fait que s'affirmer par la suite et je pense pouvoir maintenant donner des raisons valables pour expliquer mon choix. Développement Ce qui avant tout me pousse à choisir ce métier, c'est le désir d'avoir une vie utile.

Travailler pour gagner de l'argent et subvenir à mes besoins et à ceux de ma famille me paraît insuffisant. Je sais bien que tous les métiers sont utiles, mais rien ne me semble aussi satisfaisant que d'apporter mon aide aux autres quand quand ils souffrent, physiquement du moins, car la détresse morale me laisse désemparée. Je crois que j'aimerais aussi les études qui permettent d'exercer cette profession, car, dès aujourd'hui, la biologie m'intéresse beaucoup.

Je sais qu'il me faudra également faire des mathématiques et j'ai bien peur que cet aspect des études ne soit un lourd handicap pour moi et ne m'empêche d'arriver à mes fins. Un trait de mon caractère m'a également poussée à faire ce choix.

Quand l'une des personnes qui m'entourent se blesse, je ne perds pas mon sang-froid et je pense tout de suite à ce qu'il faut faire pour soigner sa blessure ou soulager sa douleur.

Mais, bien sûr, je ne sais pas si je ne perdrai pas ce beau sang-froid en salle de dissection ! Je ne suis pas non plus effrayée par le fait de travailler beaucoup.

La seule chose qui m'ennuierait serait qu'on me dise qu'il y a trop de médecins et que beaucoup attendent leurs clients.

Mais il me semble que je pourrais toujours travailler à l'hôpital et que, là, on a besoin de beaucoup de monde. En effet, ce qui me chagrine le plus, c'est de rester inactive, car je ne sais pas trouver en moi la possibilité de lutter contre l'ennui Je nie fatigue vite des distractions ! Une autre raison qui me pousse vers ce métier c'est la nécessite, quand on l'exerce, de se tenir au courant de tous les progrès de la médecine.

J'aime l'étude, je suis curieuse, et puis, continuer a apprendre, c'est rester jeune ! Vieillir c'est justement ne plus avoir de curiosité. Toutefois, ce qui me paraît la satisfaction suprême dans ce métier, c'est le fait de pouvoir guérir les malades, de contempler leur joie lorsqu'ils sont débarrassés de leurs maux.

Et on revient alors à l'idée d'utilité que j'ai dit être la plus importante.

Peu importe alors qu'ils soient reconnaissants ou non, ce qui me plaît surtout, c'est l'aspect lutte contre la maladie, car j'aime bien me battre contre les difficultés. Évidemment, les échecs doivent être difficiles à supporter et on risque peut-être de perdre confiance en soi. Conclusion Je crois connaître les écueils de ce métier que j'ai choisi depuis longtemps déjà, mais je pense avoir des raisons suffisantes pour ne pas y renoncer.

Toutefois, j'espère que mes facultés intellectuelles me permettront de poursuivre ces études difficiles, que mes parents n'auront pas de revers financiers, car je pense que ce serait très dur pour moi s'il me fallait travailler en poursuivant de telles études.. »

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