5 résultats pour "vulgaire"
- Charles VION D'ALIBRAY (1600-1653) (Recueil : Vers moraux) - Tirsis, laisse parler le vulgaire insensé
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« Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc.
Demande d'échange de corrigé de MOUSTAFA Hatim ([email protected]). \Sujet déposé : Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit d...
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Vous commenterez, en vous appuyant sur des exemples précis, cette opinion de Fénelon : « La poésie est plus sérieuse et plus utile que le vulgaire ne le croit ».
Introduction De tout temps, la poésie et les poètes ont rencontré méfiance ou incompréhension. Platon voulait les bannir de la cité, Vigny nous montre dans Chatterton le sort impitoyable qui leur est réservé par une société matérialiste, et Baudelaire dans l'Albatros, leur incapacité à se faire comprendre des autres hommes. Fénelon, lui, s'opposant à l'opinion du commun des mortels, se fait le défenseur de la poésie : « Elle est plus sérieuse et plus utile que le vulgaire ne le croit, » affirme-...
- On a dit que la véritable originalité des grands romanciers réalistes était d'avoir transformé la réalité vulgaire en oeuvre d'art. En vous appuyant sur l'étude précise d'un roman réaliste, vous justifierez ce jugement ?
- Commentez ces réflexions de Voltaire : « Je, veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. »