16 résultats pour "saisons"
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Ô saisons, ô châteaux
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Proche de la saison où les plus vives fleurs
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Voici que la saison décline
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - Les saisons et l'amour
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Saison fidèle aux coeurs qu'importune la joie
- Léon DIERX (1838-1912) (Recueil : Les amants) - Saisons brouillées
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - Les quatre saisons - L'été
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : L'arrière-saison) - Ruines du coeur
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- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - Les quatre saisons - Le printemps
- Auguste ANGELLIER (1848-1911) (Recueil : Le chemin des saisons) - Le faisan doré
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - Les quatre saisons - L'automne
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - Les quatre saisons - L'hiver
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Saison des semailles. Le soir
1. Localisation du morceau. C e morceau, justement célèbre, est l'un des plus beaux que renferme le recueil : Les C hansons des rues et des bois (1865). Victor Hugo y tente une nouvelle voie : sa muse, qui s'était faite, tour à tour, lyrique, dramatique, satirique, épique, se veut ici plus familière, elle cherche à se détendre dans la poésie populaire; il veut « mettre Pégase au vert ». Depuis Les Misérables, le poète est soulevé par une grande sympathie fraternelle pour le peuple des travailleu...
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Jean-François de Saint-Lambert
Jean-François de Saint-Lambert 1716-1803 A vingt-six ans, il devint l'amant de Madame du Châtelet, qui en avait trente-six. Mais Voltaire en avait cinquantequatre et pardonna. La pauvre "Emilie" mourut d'ailleurs peu après, assez tragiquement. Puis, pendant près d'un demi-siècle, il fut fidèle à Madame d'Houdetot. C'est à elle et à la faveur qu'il rencontra dans les salons (Madame Geoffrin, Mademoiselle Quinault, Madame Necker) qu'il doit sa réputation. Son grand poème, les Saisons (1769), en qu...
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Derniers vers) - L'hiver qui vient
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Automne malade de Guillaume Apollinaire
Automne malade de Guillaume Apollinaire Automne malade et adoré Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies Quand il aura neigé Dans les vergers Pauvre automne Meurs en blancheur et en richesse De neige et de fruits mûrs Au fond du ciel Des éperviers planent Sur les fixes nicettes aux cheveux verts et naines Qui n’ont jamais aimé Aux lisières lointaines Les cerfs ont bramé Et que j’aime ô saison que j’aime tes rumeurs Les fruits tombant sans qu’on les cueille Le vent et la forêt qui...