5 résultats pour "retraite"
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POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE ? Après avoir étudié l'oeuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que
POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE? Après avoir étudié l'œuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que vous a laiss...
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Retraite
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - La retraite
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Molière, Dom Juan, ou le festin de pierre, Acte IV, scène 6
Molière, Dom Juan, ou le festin de pierre, Acte IV, scène 6. DONE ELVIRE : C'est ce parfait et pur amour qui me conduit ici pour votre bien, pour vous faire part d'un avis du Ciel, et tâcher de vous retirer du précipice où vous courez. Oui, Dom Juan, je sais tous les déréglements de votre vie, et ce même Ciel qui m'a touché le cœur et fait jeter les yeux sur les égarements de ma conduite, m'a inspiré de vous venir trouver, et de vous dire, de sa part, que vos offenses ont épuisé sa miséric...
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Fiodor Dostoïevski
Fiodor Dostoïevski Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski est né le 30 octobre 1821 à Moscou. En 1838 il entre à l'École des Ingénieurs de Saint-Pétersbourg, est nommé sous-officier du Génie en 1840, puis sous-lieutenant en 1842. Il écrit pendant cette période deux drames qui restent inachevés. En 1844 il demande sa retraite et commence les Pauvres Gens, sa première oeuvre, qui plaira et sera publiée en 1846. Alors, il fait la connaissance de Petrachevski, dont il se mettra bientôt (1847) à fréquente...