Résultats pour "loi+"
- Voltaire, Zadig, chapitre 6 - Il fit sentir à tout le monde le pouvoir sacré des lois...
- Montesquieu, De l'esprit des lois, XI, 6, « De la constitution d'Angleterre »
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Contr'amours) - Quelque lieu, quelque amour, quelque loi qui t'absente
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Parfums, couleurs, systèmes, lois !
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Si la loi des amours saintement nous assemble
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - France, mère des arts, des armes et des lois
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Montesquieu écrit dans la préface de l'esprit des Lois: j'ai d'abord examiné les hommes... Je n'ai pas tiré mes principes de mes préjugés, mais de la nature des choses. Les méthodes pratiquées par lui, des Lettres Persanes à l'esprit des Lois, vous semblent-elles correspondre à cette déclaration ?
INTRODUCTION «J'ai d'abord examiné les hommes... Je n'ai pas tiré mes principes de mes préjugés, mais de la nature des choses ». Ces phrases de la préface de L'Esprit des lois contiennent une déclaration d'intention et un bilan de réussite. Elles invitent à se poser une double question : est-ce bien là ce que Montesquieu a voulu faire ? L'a-t-il fait assez bien pour mériter le «satisfecit» qu'il se décerne ? I. INTENTIONS DE MONTESQUIEU Déjouer les préjugés Que Montesquieu ait été comme la plup...
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Mais quelle aveugle loi tellement te maîtrise
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Montesquieu et L'Esprit des Lois
LA PRÉPARATION DE L'ESPRIT DES LOIS Après 1734, Montesquieu se consacre à l'oeuvre immense qui a été la préoccupation de toute sa vie. Il enrichit de l'expérience de ses voyages et de l'apport de ses nouvelles lectures le trésor des matériaux qu'il a déjà accumulés sur les problèmes posés par le gouvernement des sociétés; et il rédige L'Esprit des Lois. Il connaît parfois des heures de découragement : « J'ai bien des fois commencé et bien des fois abandonné cet ouvrage; j'ai mille fois envoyé au...
- MONTESQUIEU , De l'Esprit des lois
- Montesquieu, L'esprit des lois, XV,5 .
- Montesquieu, De l'esprit des Lois : Livre VIII, 2
- MONTESQUIEU, De l'Esprit des lois - XV – 5 - L'Esclavage des nègres
- Montesquieu, De l'Esprit des Lois, Livre VIII, Chapitres 6 et 7
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A propos de L'Esprit des lois de Montesquieu, Voltaire écrit: Il n' a guère d'ouvrage où il y ait plus d'esprit, plus d'idées profondes, plus de choses hardies ?
A propos de L'Esprit des lois, Voltaire écrit : « D n'Y a guère d'ouvrage où il y ait plus d'esprit, plus d'idées profondes, plus de choses hardies ... » Élargissant la portée de ce jugement, vous l'appliquerez à l'œuvre de Montesquieu, prise dans son ensemble. LES GRANDES LIGNES DU PLAN Trois points sont indiqués : 1. La forme spirituelle que Montesquieu se plait à donner à ses écrits. - Il. Les idées profondes, c'est-à-dire l'originalité et la portée de ses conceptions en matière d'Histoire e...
- Tout ce qui est dans la nature est dans l'art dit Victor Hugo dans Cromwell, et plus loi, Le domaine de l'art et celui de la nature sont parfaitement distincts. Comment concilier ces deux affirmations qui semblent contradictoires ?
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"L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste de la politique, l'excitant essentiel de la gloire et des grandes amours, - l'origine d'une quantité de recherches et de méditations." (Valéry)
La condition mortelle de l'homme et la conscience qu'il en a l'invitent à repousser ces limites, ces entraves à son action. L'idée de mort, parce qu'elle est inexorable et représente un mystère insondable, ne déclenche pas un réflexe d'impuissance chez l'homme mais explique au contraire la plupart de ses activités. Ainsi Valéry, préfaçant le livre de James Frazer La Peur des morts écrit : « L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste...
- Henry Bauchau : Antigone, 1997.
- Montesquieu, Du principe de la démocratie (III, 3), « des principes des trois gouvernements »
- Commentez et discutez ces lignes de Baudelaire : « L'art est-il utile? Oui. Pourquoi ? Parce qu'il est l'art. Y a-t-il un art pernicieux? Oui. C'est celui qui dérange les conditions de la vie. Le vice est séduisant, il faut le peindre séduisant; mais il traîne avec lui des maladies et des douleurs morales singulières. Il faut les décrire. Etudiez toutes les plaies comme un médecin qui fait, son service dans un hôpital, et l'école du bon sens, l'école exclusivement morale, ne trouvera plus où mordre. Le crime est-il toujours châtié, la vertu gratifiée? Non; mais cependant si votre roman, si votre drame est bien fait, il ne prendra envie à personne de violer les lois de la nature. La première condition nécessaire pour un art sain est la croyance à l'unité intégrale. Je défie qu'on me trouve un seul ouvrage d'imagination qui réunisse toutes les conditions du beau et qui soit un ouvrage pernicieux. » (L'Art romantique, « Les drames et les romans honnêtes ».) ?