6 résultats pour "février"
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Pâle matin de Février
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Madame de Sévigné, Lettre du 3 février 1695 à Emmanuel de Coulanges.
Mme de Chaulnes me mande que je suis trop heureuse d'être ici avec un beau soleil ; elle croit que tous nos jours sont filés d'or et de soie. Hélàs ! mon cousin, nous avons cent fois plus de froid ici qu'à Paris ; nous sommes exposés à tous les vents ; c'est le vent du midi, c'est la bise, c'est le diable, c'est à qui nous insultera ; ils se battent entre eux pour avoir l'honneur de nous renfermer dans nos chambres ; toutes nos rivières sont prises ; le Rhône, ce Rhône si furieux, n'y résiste pa...
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Etude littéraire de ce passage de Mme de Sévigné, extrait d'une lettre qu'elle adressait de Grignan, le 3 février 1695, à son cousin Emmanuel de Coulanges, l'année qui précéda sa mort.
Etude littéraire de ce passage de Mme de Sévigné, extrait d'une lettre qu'elle adressait de Grignan, le 3 février 1695, à son cousin Emmanuel de Coulanges, l'année qui précéda sa mort. Mme de Chaulnes me mande que je suis trop heureuse d'être ici avec un beau soleil; elle croit que tous nos jours sont filés d'or et de soie. Hélas! mon cousin, nous avons cent fois plus de froid ici qu'à Paris; nous sommes exposés à tous les vents; c'est le vent du midi, c'est la bise, c'est le diable, c'est à qui...
- Louis-Honoré FRÉCHETTE (1839-1908) (Recueil : Oiseaux de neige) - Février
- Lettre de Apollinaire à André Breton 14 février 1916 En réalité je n'ai lu avec soin que des livres spéciaux sur tous les sujets, des catalogues, des livres de linguistiques, les contes de Perrault, des voyages et des poètes par fragments ou entièrement Villon, Racine, La fontaine et beaucoup d'auteurs célèbres... et en 1901 j'ai lu pas mal de romans de chevaleries. Cette lettre éclaire-t-elle notre lecture d'Alcools ?
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en v