27 résultats pour "adieu"
- François MAYNARD (1582-1646) - Adieu Paris, adieu pour la derniere fois
- Clément MAROT (1497-1544) - Adieu aux Dames de la Cour
- Pierre de BRACH (1547-x) - Amour, adieu...
- Jacques TAHUREAU (1527-1555) - Muses, adieu, et votre chant jazard
- Ondine VALMORE (1821-1853) - Adieu à l'enfance
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Stances) - Adieu, la vapeur siffle, ...
- Manouchian, Lettre d'adieu à sa femme Mélinée
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Premières poésies) - Adieu !
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- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Point d'adieu
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Adieu
- Lazare de BAÏF (149x-1547) - Adieu
- Emile NELLIGAN (1879-1941) - Violon d'adieu
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : Entrevisions) - L'adieu
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Quand je te dis adieu, pour m'en venir ici
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Le dernier adieu
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Intimités) - Le crépuscule est triste et doux comme un adieu
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- Lazare de BAÏF (149x-1547) - Autre adieu
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Amour) - Adieu
- Jean BERTAUT (1552-1611) (Recueil : Divers sonets) - Adieu
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Corneille, Le Cid, Acte III, scène 4.
Corneille, Le Cid, acte III, scène 4. CHIMÈNE Malgré des feux si beaux qui troublent ma colère, Je ferai mon possible à bien venger mon père ; Mais, malgré la rigueur d'un si cruel devoir, Mon unique souhait est de ne rien pouvoir. DON RODRIGUE Ô miracle d'amour ! CHIMÈNE Ô comble de misère ! DON RODRIGUE Que de maux et de pleurs nous coûteront nos pères ! CHIMÈNE Rodrigue, qui l'eût cru ? DON RODRIGUE Chimène, qui l'eût dit ? CHIMÈNE Que notre heur fût si proche, et sitôt se perdît ? DON RODRIG...
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Le comique exige, pour produire tout son effet, quelque chose comme une anesthésie momentanée du coeur. Qu'en pensez-vous ?
Introduction « Le comique, a-t-on dit, est vite douloureux lorsqu'il est humain. » En d'autres termes, dès qu'il cesse de s'adresser à l'intelligence pure, dès que pitié, sympathie ou affection entrent en jeu, le rire s'estompe, perd de sa force ou même disparaît. C'est ce que veut dire Bergson par anesthésie du coeur. I. — Demandons tout d'abord à la vie même de nous éclairer cette proposition. Un élève manque une marche et se retrouve assis simplement par terre : ses camarades sourient ; il t...
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Les adieux
- Jacques GOHORRY (15xx-1576) - Chanson (3)
- Claude HOPIL (1585-1633) (Recueil : Les oeuvres chrétiennes) - Derniers propos d'un jeune homme
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- Jacques DAVY DU PERRON (1555-1618) - Puisqu'il faut désormais que j'éteigne ma flamme
- Jean VAUQUELIN DE LA FRESNAYE (1535-1607) - Déjà, venant hérissonné
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Commencement d'une illusion