13 résultats pour "1620"
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Muzain
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Qu'inférez-vous, menteurs, par vos beaux arguments
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Puisse advenir que ma fiere Maistresse
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Je chante et pleure, et veux faire et défaire
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Le baiser en l'Amour est l'octave en Musique
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Ce n'est pas le trépas, c'est un très doux sommeil
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Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Je m'embarque joyeux, et ma voile pompeuse
Abraham de Vermeil Je m’embarque joyeux et ma voile pompeuse M’ôte déjà la terre et me donne les mers, Je ne vois que le Ciel uni aux sillons pers ; C’est le premier état de mon âme amoureuse. Puis je vois s’élever une vapeur confuse, Ombrageant tout le Ciel qui se fend en éclairs ; Le tonnerre grondant s’anime par les airs, C’est le second état dont elle est langoureuse. Le troisième est le flot hideusement frisé, Le mât rompu des vents et le timon brisé, Le navire enfondrant la perte de coura...
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Ô Dieu qui vois ceste rouë execrable
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- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Puisque tu veux dompter les siècles tout-perdants
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Ores que je suis mort, je vai, je viens, je vire
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Un jour mon beau soleil miroit sa tresse blonde
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Voz yeux plus prompts qu'esclairs, plus subtils que la foudr
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Agrippa D'Aubigné
A grippa D'A ubigné A partir de 1668, la vie de ce huguenot est liée à celle d'Henri de Navarre. En 1572, il échappe de peu à la Saint-Barthélemy. P ourtant, il revient à la cour, à peine un an plus tard. En effet, il est l'écuyer d'Henri. P endant des années, il est de tous les combats et, chaque fois, que ce soit à Jarnac, en 1569, à C outras, en 1587, ou à Ivry, en 1590, sa bravoure est remarquée. En dépit de sa fidélité à Henri de Navarre, intransigeant, il n'admet pas la moindre compromiss...