Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Notre mère la ville) - La victoire
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Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Notre mère la ville) - La victoire L'oeil terrible d'un dieu s'est ouvert à mon front : Que je vois bien la vie au fond de ma blessure ! Et comme un loup marqué de honteuses morsures, Je porte, clair regard, le faix de tes rayons. - J'ai cherché ma patrie avec sincérité Dans ses villes, son ciel, ses champs et ses navires. - Mais rien ne vaut la chambre où je fais de ma lyre Le silence pleuvoir avec limpidité.
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