LES IDÉES EN 1914

« .LES ID ÉE'S EN QUtTE D'IDÉES-MÈRES • des';idées-mères, �sous.

�orme éloquente _et .

,La production httéra1re, est la .fonct10n ·centrale de ~la littérature française · dèpuis: Descartes et Port-Royal.

E.lle lui donne ses cadres, dessine ·son relief, s'offre d'abord pour en rendre.

témojgnage. C'est surtout dans c�tte produêtion des idéès-mères.

què la génération .en cours dl;l.

maturité, celle qui ·.est née· entre· 1885 et 1905 a plus-ou moins fait défaut.La génération précédente• a:vait fourni à Ia,France et à l'Europe, a:vec· Bergson, fid_ée-mère d'une.

philosoP.hie dyna­ mique, avec .Barrès et Maurras l'idée-mère du.

:nationalisme. Ces._idées-mères avaient eu -moins d'.éclat,-Jittéraire, mais phis de rayonnement .extérieur qu'au cours -dé la.

génération pré.:. cédente.

celles .qu'on a incarnées dans les noms �e Taine ét de Renan.

Aprè!l la guerre, ùne réaction, inévitable .à toutes,ces époques-charnières, .s'est produite contre ellè's.

C'est, ainsi qu.'on a.affecté .!le voir"dans-Bergson le philosophe.de l'intui­ tion .pure, en partie pour rendre plus .facile.

èt plus nécessaire le tableau qui appelait le.

jeu _antagoniste :, celui d'une réac­ tion iptellectualiste.

Quelle plus belle cause.

à �pouser que. »