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Comtesse Mathieu de Noailles

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Comtesse Mathieu de Noailles 1876-1933 Née princesse Anna Elisabeth de Bancovan, de père roumain et de mère grecque elle a tenu une place exceptionnelle dans la vie littéraire et même, par ses affinités "de gauche", dans la vie politique française pendant un quart de siècle. Un référendum du journal Eve la proclama en 1924 "princesse des Lettres" (par deux mille trois cent quatre-vingt-dix-sept voix contre deux mille trois cent soixante-trois à Colette). L'Académie de langue et littérature françaises de Belgique l'avait reçue en 1921. Sa prose et ses vers traduisent avec lyrisme un amour exalté, païen et comme charnel, de la vie et de la beauté des choses. Ses principaux romans (la Nouvelle Espérance, 1903 ; le Visage émerveillé, 1904 ; la Domination, 1905) et ses principaux recueils poétiques (le Coeur innombrable, 1901 ; l'Ombre des jours, 1902 ; les Éblouissements, 1907 ; les Vivants et les morts, 1913 ; les Forces éternelles, 1920) accentuent, par le contraste, le pathétique de ses derniers vers : l'Honneur de souffrir (1927).

« Comtesse Mathieu de Noailles 1876-1933 Née princesse Anna Elisabeth de Bancovan, de père roumain et de mère grecque elle a tenu une place exceptionnelle dans la vie littéraire et même, par ses affinités "de gauche", dans la vie politique française pendant un quart de siècle.

Un référendum du journal Eve la proclama en 1924 "princesse des Lettres" (par deux mille trois cent quatre-vingt-dix-sept voix contre deux mille trois cent soixante-trois à Colette).

L'Académie de langue et littérature françaises de Belgique l'avait reçue en 1921.

Sa prose et ses vers traduisent avec lyrisme un amour exalté, païen et comme charnel, de la vie et de la beauté des choses.

Ses principaux romans (la Nouvelle Espérance, 1903 ; le Visage émerveillé, 1904 ; la Domination, 1905) et ses principaux recueils poétiques (le Coeur innombrable, 1901 ; l'Ombre des jours, 1902 ; les Éblouissements, 1907 ; les Vivants et les morts, 1913 ; les Forces éternelles, 1920) accentuent, par le contraste, le pathétique de ses derniers vers : l'Honneur de souffrir (1927).. »

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