Résultats pour "serai+je"
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Douleur, je vous déteste) - Quand je serai guérie
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Aragon, Le Roman inachevé, Que serais-je sans toi
Aragon, Le Roman Inachevé, « Que serais-je sans toi ? » Introduction : Louis Aragon est célèbre en particulier pour son appartenance au groupe surréaliste qui fut pour lui un point de départ bien plus qu’un système ou une doctrine. Il puise son inspiration dans les recherches des surréalistes mais rapidement, dès 1932, il rompt avec les surréalistes pour des motifs à la fois politiques et esthétiques. Aragon revendique en particulier une totale liberté d’invention. Contrairement, aux surréaliste...
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Mélancolie) - Peut-être serai-je plus gaie
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Ores que je suis mort, je vai, je viens, je vire
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie
- Jacques Brel, L'ivrogne.
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Je n'ai pas de palais épiscopal en ville
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Louise LABÉ: Je vis, je meurs...
Je vis, je meurs: je me brûle et me noie, J'ai chaud extrême en endurant froidure; La vie m'est et trop molle et trop dure, J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout en un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure, Mon bien s'en va, et à jamais il dure, Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être en ha...
- Jean VAUQUELIN DE LA FRESNAYE (1535-1607) - Ici seul je me plains, Ô Fresnaie-au-Sauvage...
- Pierre de BRACH (1547-x) - Non, non, je m'en dédis ...
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Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Je crois que tout mon lit de chardons est semé
Philippe DESPORTES, Les amours d'Hippolyte, « Je crois que tout mon lit de chardons est semé ». 1. Je crois que tout mon lit de chardons est semé ! 2. Qu'il est rude et malfait. Hé ! Dieu suis-je si tendre 3. Que je n'y puis durer ? je ne fais que m'étendre, 4. Et ne sens point venir le Somme accoutumé. 5. Il est après mi-nuit, je n'ai pas l'oeil fermé, 6. Et mes membres lassés repos ne peuvent prendre. 7. Sus Phebus, lève-toi ! ne te fais plus attendre. 8. Et de tes clairs regards rends le cie...
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Elégies) - Je ne refuse point qu'en si belle jeunesse
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Quand viendra l'heureux temps que je sacrifiré
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Entrerai-je, ce soir, Seigneur, dans ta maison
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - Le roc
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Théophile de VIAU (1590-1626) - Perside, je me sens heureux
Théophile de VIAU, « Perside je me sens heureux » Ode 1. Perside, je me sens heureux 2. De ma nouvelle servitude, 3. Vous n'avez point d'ingratitude 4. Qui rebute un coeur amoureux. 5. Il est bien vrai que je me fâche 6. Du fard où votre teint se cache. 7. Nature a mis tout son crédit 8. À vous faire entièrement belle, 9. L'art qui pense mieux faire qu'elle 10. Me déplait et vous enlaidit. 11. L'éclat, la force et la peinture 12. De tant et de si belles fleurs 13. Que l'Aurore avec ses pleurs 14...
- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Autres vers) - Aux saints
- Joachim Bernier de LA BROUSSE (x-1623) - Je voudrais bien sous la voûte infernale
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - D'où vient cela, belle, je vous supplie
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Je suis la Journée
- Rosemonde GÉRARD (1871-1933) - L'éternelle chanson
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Éloignant vos beautés, je vous laisse en ma place
- Honoré de Balzac, La Duchesse de Langeais, chapitre III, 1834.
- Commentez cette phrase de Ionesco : « Je ne fais pas de la littérature. Je fais quelque chose de tout à fait différent je fais du théâtre ».
- Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, chapitre 3.
- Stendhal, Vie d'Henry Brulard (1890)
- Charles VION D'ALIBRAY (1600-1653) (Recueil : Vers amoureux) - Je ne t'impute point l'amour que je te porte
- Gabriel-Joseph de Guilleragues, Lettres portugaises, Lettre V
- Isaac HABERT (1560-1615) - Dieu ! que je suis heureux quand je baise à loisir
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les châtiments) - Ultima verba
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Romances) - Je ne sais plus, je ne veux plus
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si je monte au Palais, je n'y trouve qu'orgueil
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Aragon, « Prose d'Elsa »
La célébration de la femme comme amante et comme muse inspiratrice est un des grands thèmes lyriques de la poésie. Chez Aragon cependant, le motif connaît une richesse particulière. Le poète en effet dès sa rencontre en 1928 avec la romancière russe Elsa Triolet ne cesse de la célébrer au fil de divers recueils comme Le Cantique à Elsa ou Les Yeux d'Elsa. Le poème est ici extrait d'un recueil autobiographique Le Roman inachevé, publié en 1956, qui retrace par fragments le cheminement affectif, s...
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Aragon, Prose du bonheur et d'Elsa
J’étais celui qui sait seulement être contre Celui qui sur le noir parie à tout moment Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre Que cette heure arrêtée au cadran de la montre Que serais-je sans toi qu’un cœur au bois dormant (5) Que serais-je sans toi que ce balbutiement Un bonhomme hagard qui ferme sa fenêtre Le vieux cabot qui parle des anciennes tournées L’escamoteur qu’on fait à son tour disparaître Je vois parfois celui que je n’eus manqué d’être (10) Si tu n’étais venue changer ma de...
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Je l'ai cueilli ! je l'ai goûté
- François VILLON (1431-x) (Recueil : Poésies diverses) - Le débat du cœur et du corps de Villon
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Je me trouve et me pers, je m'asseure et m'effroye
- Hugo, Les Châtiments, Ultima verba.
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - Le verger
- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Douleur, je vous déteste) - Douleur, je vous déteste
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - D'Amour d'Amour je fu je fu blessé
- Roland Dorgelès, Les croix de bois
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Francine) - Bien, je l'ay dit, je le confesse
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Ô l'ai je dict ? helas ! l'ai je songé ?
- Maurice SCÈVE (1501-1564) (Recueil : Délie) - Tant je l'aimais qu'en elle encor je vis
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Derniers vers) - Je n'ay plus que les os, un Schelette je semble
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Je l'ai tué, je l'ai tué
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vers françois) - Je sçay ton ferme cueur, je cognois ta constance
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose