528 résultats pour "saint+louis"
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L'art et la doctrine de BOSSUET
BOSSUET (1627-1704) JACQUES-BÉNIGNE BOSSUET est né à Dijon, d'une famille de magistrats. Élève des jésuites, il se montre particulièrement studieux. A dix ans, il reçoit la tonsure. Il est formé à la rigueur doctrinale par son maître du collège de Navarre, Nicolas Cornet, grand adversaire du jansénisme, et à l'esprit de charité par Vincent de Paul, qui dirige sa retraite de prêtrise. Ordonné prêtre en 1652, il choisit de résider à Metz, où il avait déjà passé une partie de son enfance. Il s'y em...
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L'oeuvre de CHRÉTIEN DE TROYES
CHRÉTIEN DE TROYES. — De tous les poètes qui exploitèrent et adaptèrent au goût français la « matière de Bretagne », le plus célèbre est Chrétien de Troyes. On ne sait presque rien de sa vie. Il eut pour protectrice et pour inspiratrice une autre Marie de France, femme du comte Henri I" de Champagne, fille de Louis VII et d'Aliénor de Guienne. Peut-être Marie connut-elle par sa mère, devenue reine d'Angleterre dès 1554, des lais et des romans gallois ou anglo-normands qu'elle communiqua au poète...
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LA ROCHEFOUCAULD: Sentences et Maximes
LA ROCHEFOUCAULD (1613-1680) François de Marsillac, qui ne deviendra duc de LA ROCHEFOUCAULD qu'en 1651, à la mort de son père, fait ses premières armes en Italie, puis se mêle aux intrigues de la cour. Il est du parti d'Anne d'Autriche, qu'il songe à enlever et à conduire à Bruxelles. Faute d'avoir pu réaliser ce projet romanesque, il complote avec Mme de Chevreuse contre Richelieu. Après un court emprisonnement à la Bastille, il est exilé dans ses terres. La Fronde éclate. Il y joue son rôle,...
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Henry de Montherlant
Henry de Montherlant Montherlant ! Un nom qui sonne, et qui roule avec un bruit de tonnerre dans le ciel littéraire français. Celui d'un écrivain qui a toujours dominé, " dressé " son oeuvre. Henry de Montherlant est né à Paris. Enfant unique, il fit la majeure partie de ses études à l'École Sainte-Croix de Neuilly. Mobilisé durant la Grande Guerre, il demanda, bien qu'appartenant au Service auxiliaire, d'être affecté à un poste au front de combat ; il fut grièvement blessé en 1918 et réformé l'...
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Le comique n'a-t-il qu'une fonction de divertissement ?
PLAN ADOPTÉ DANS LE DEVOIR I. Le comique comme divertissement - La permanence du comique comme divertissement dans l'art - Ses différentes formes II. Le comique comme redresseur de torts - Le comique au service des moralistes - Le comique au service de la subversion III. Le comique comme moyen d'affronter la vie et la mort - L'humour - L'absurde DEVOIR RÉDIGÉ La fonction la plus évidente du comique dans les œuvres d'art est de divertir, distraire le public. Divertere, distrahere signifient en la...
- Flaubert, l'Éducation sentimentale, I, 2.
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Paul Éluard
Paul Éluard Paul Éluard est né à Saint-Denis. Les parents de Paul Éluard s'étaient (comme on dit) faits eux-mêmes. Paul-Eugène Grindel a 16 ans lorsque ses études sont interrompues par une lésion pulmonaire. L'adolescent passera les années 1911, 1912 et une partie de 1913, au sanatorium de Clavadel en Suisse. A Clavadel, le jeune reclus écoutait le silence, et il écoutait les voix contradictoires des écrivains et des poètes qui l'atteignaient. Je l'ai entendu souvent répéter, reprenant à son com...
- Jules Renard
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- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : Le lutrin) - Chant premier
- Pagnol, La Gloire de mon père.
- MOLIÈRE (1622-1673) - Jean-Baptiste POQUELIN, dit.
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Mémoire
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Céline, Voyage au bout de la nuit :
Céline, Voyage au bout de la nuit : "Donc pas d'erreur ? Ce qu'on faisait à se tirer dessus, comme ça, sans même se voir, n'était pas défendu ! Cela faisait partie des choses qu'on peut faire sans mériter une bonne engueulade. C'était même reconnu, encouragé sans doute par les gens sérieux, comme le tirage au sort, les fiançailles, la chasse à courre!... Rien à dire. Je venais de découvrir d'un coup la guerre tout entière. J'étais dépucelé. Faut être à peut près seul devant elle comme je l'étais...
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - L'obélisque de Paris
- François Mauriac, Le Baiser au lépreux.
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AGRIPPA D'AUBIGNÉ
AGRIPPA D'AUBIGNÉ Le zèle politique et religieux d'Agrippa d'Aubigné a fourni l'élan des Tragiques, mais sa capacité de « voyant » a restitué la vraie Mémoire poétique, telle que la concevaient les Anciens : génératrice de formes et peintre de fresques animées. Le poète divin et ses combats Issu de la petite noblesse par sa mère et de la bourgeoisie de robe par son père, juge à Pons (Saintonge), Agrippa d'Aubigné peut faire de brillantes études sous la direction de Mathieu Béroalde, humaniste et...
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- Robert GARNIER (1535-1601) - Elégie sur la mort de Ronsard
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Carlo Goldoni
Carlo Goldoni Il suffit de jeter un coup d'oeil sur la vie longue et singulière de Goldoni pour découvrir aussitôt que ce "génie" du théâtre italien est de dimensions fort réduites. Certes, il n'a pas donné moins de deux cents pièces dont certaines sont de petits chefs-d'oeuvre, mais il n'est ni ce Shakespeare ni ce Molière à qui des pédants mâtinés de chauvins ont inventé de le comparer, et il a suffi des attaques du comte Carlo Gozzi pour arrêter net son abondante production. Lassé, écoeuré, G...
- Édouard CORBIÈRE: : Le Négrier, Aventure de mer, 1832.
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L'esprit philosophique du 18e siècle.
Introduction : Nombreux furent les arts cultivés au xviiie siècle ; nombreuses aussi furent les disciplines littéraires. Cependant, la philosophie compta sans contredit le plus d'adeptes parmi les écrivains du temps. L'évolution de la littérature et les chemins rebattus des genres traditionnels de la Philosophie du xviie siècle (métaphysique, psychologie, morale et quelquefois logique) déterminèrent cette science à s'orienter vers de nouvelles voies, quasi inexplorées. L'un des philosophes les p...
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Victor HUGO: vie et oeuvre
VICTOR HUGO (1802-1885) Il est le troisième fils du commandant Hugo, qui devint plus tard général et comte. Sa mère appartenait à une famille d'armateurs nantais. Tous deux étaient incroyants. Victor Hugo ne fut pas baptisé. Sa vocation se dessine de bonne heure. En 1816, il écrit :« Je veux être Chateaubriand ou rien.» Les récompenses qui lui sont décernées par l'Académie française et par l'Académie des Jeux floraux de Toulouse favorisent cette vocation et le détournent de la préparation à l'Éc...
- Flaubert - Madame Bovary (1857), I, 8 (Le bal à la Vaubyessard)
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Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul
Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul 1763-1825 "Ce fut en l'année 1763 que vint au monde, le 15 février, la paix de Hubertsbourg (qui mit fin à la guerre de Sept Ans) et, quelque temps après elle, Johann Paul Friedrich Richter, — et ce, dans le mois où avec lui vinrent encore la lavandière jaune et la grise, le rouge-gorge, la grue, la poule d'eau et maints autres oiseaux des marécages, à savoir en mars —, et ce, le jour du mois où, si l'on avait voulu couvrir son berceau de fleurs, la c...
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Contre l'hiver
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- Voltaire, Zadig, Chapitre 11 : Le bûcher.
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - L'étal
- Maurice Barrès, La Colline inspirée, I.
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre XXIII