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Quelles sont les conditions qui font qu’un élève peut se produire à la sortie de l’école d’une façon convenable ?
QUESTIONS Quelles sont les conditions qui font qu’un élève peut se produire à la sortie de l’école d’une façon convenable ? Cause matérielle : on produit l’élève à partir d’un certain matériau : - le savoir exemples : apprendre à faire des résumés, connaître le règne de Louis XIV => Tous les savoirs ne se travaillent pas de la même manière, on peut faire des distinctions. Certains savoirs ne se construisent pas, certains sont plus élaborés (« construire son savoir » dépend de la natu...
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Informations et communication a l'époque moderne
2021-2022 Informations et communications Nous allons voir que le public est devenu inexorablement un interlocuteur indispensable petit à petit au XVIe siècle et au XVIIe siècle. Il a fallu d’abord l’informer ensuite le séduire et aussi le convaincre. Au XVIIIe siècle voit le jour le terme « d’opinion publique », on ne le trouve pas dans l’encyclopédie de Diderot mais on a des termes assez proches : « esprit public », « murmures ». On a, au début du XVIIe siècle, des moyens de communicati...
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Lecture linéaire 3 : les lettres elliptiques Jean Luc la garce juste la fin du monde
Lecture linéaire 3 : les lettres elliptiques Jean Luc la garce juste la fin du monde L’extrait étudier : Notre extrait est situé à la scène trois de la première partie c’elle ci porte sur le retour de Louis dans sa famille qui constitue un choc pour chacun des membres de celle-ci. Suzanne la petite sœur est la première à se retrouver en tête à tête avec son frère ici. Nous pouvons déjà remarqué que ce n’est pas un vrai dialogue qui se noue entre eux deux, Suzanne va alors tenter...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Elle était déchaussée, elle était décoiffée...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Elle est gaie et pensive ; elle nous fait songer
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La Bryère (analyse de l'homme et de l'oeuvre)
LA BRUYÈRE (i645-1696) LES CARA(Xl'ÈRES Notice biographique. LEs CAnACTÈRES. - Historique. - Élude littéraire : l'ensemble du livre. - Le moraliste et le philosophe. - Le peintre de portraits. - L'écrivain. Notice biographique (1). - En 1685, on pouvait voir rôder dans les salons de Chantilly, les soirs de réception, un personnage modeste, auquel la plupart des nobles invités ne semblaient point attribuer une grande importance. Il observait d'un œil attentif le manège de� seigne...
- Selon l'opinion de deux auteurs contemporains, interpréter signifie dans son emploi courant: donner un sens à, et aussi s'agissant du théâtre: jouer, donner une image visuelle. l'interprétation du texte de théâtre est indispensable [...]. Elle peut être le fait des acteurs [...] Elle est aussi le fait du metteur en scène.[...]. Elle est, enfin, le fait du lecteur qui imagine selon ses goûts et sa culture les personnages, leurs faits et gestes, et charge donc le texte de sens divers. En faisant référence à vos lectures de pièces et aux spectacles que vous avez pu voir, vous expliquerez dans quelle mesure vous partagez cette opinion. ?
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George Eliot
George Eliot 1819-1880 C'est un homme qui a révélé à elle-même Marian Evans, dite George Eliot. Sa vie de femme et sa carrière d'écrivain commencent sur le tard, sans que surgisse entre elles le moindre conflit. Elle a réussi à mener une vie qui défiait les conventions, mais dans l'équilibre. Cette bonne ménagère, qui s'interrompt d'écrire Les Scènes de la vie du clergé pour préparer une tarte aux prunes, trouve sa plénitude jusque dans l'acte d'écrire. On aime retrouver ses romans à la lumière...
- Commentez cette page d'Albert Camus: « L'art formel et l'art réaliste sont des notions absurdes. Aucun art ne peut refuser absolument le réel. La Gorgone est sans doute une créature purement imaginaire; son mufle et les serpents qui la couronnent sont dans la nature. Le formalisme peut parvenir à se vider de plus en plus de contenu réel, mais une limite l'attend toujours. Même la géométrie pure où aboutit parfois la peinture abstraite demande encore au monde extérieur sa couleur et ses rapports de perspective. Le vrai formalisme est silence. De même, le réalisme ne peut se passer d'un minimum d'interprétation et d'arbitraire. La meilleure des photographies trahit déjà le réel, elle naît d'un choix et donne une limite à ce qui n'en a pas. L'artiste réaliste et l'artiste formel cherchent l'unité où elle n'est pas, dans le réel à l'état brut, ou dans la création imaginaire qui croit expulser toute réalité. Au contraire, l'unité en art surgit au terme de la transformation que l'artiste impose au réel. Elle ne peut se passer ni de l'une ni de l'autre. Cette correction, que l'artiste opère par son langage et par une redistribution d'éléments puisés dans le réel, s'appelle le style et donne à l'univers recréé son unité et ses limites. » (L'Homme révolté, pp. 332-333.) ?
- « J'aime la comédie, elle me délasse, elle me divertit » écrit Sacha Guitry. Commentez.
- La poésie peut-elle et soit-elle traiter des événements contemporains ?
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Les réécritures permettent-elles, selon le mot de GIRAUDOUX, d'épousseter de temps en temps les statues éternelles ? En vous appuyant sur le mythe d'Electre et ses réécritures, vous vous demanderez quelles sont leurs fonctions.
Les pratiques de réécritures sont aussi anciennes que la Littérature elle-même. Les textes d'Homère ont connu des l'antiquité des compléments a ce point savants et similaires au texte original que l'on a pu les confondre avec ce dernier. Mais les pratiques de réécritures (ou pratiques hypertextuelles pour reprendre l'expression consacrée par Gérard Genette dans son ouvrage majeur consacre a la question : Palimpsestes) ne sont pas seulement anciennes : elles sont également multiples. En effet, no...
- La littérature d'idées combat-elle les préjugés ou en est elle victime ?
- La littérature et la peinture doivent-elles peuvent-elles représenter la réalité telle qu'elle est ?
- Vous illustrerez et discuterez cette opinion de René Huyghe, en vous fondant sur votre expérience personnelle des oeuvres littéraires ou artistiques : « L'oeuvre d'art n'est pas un simple miroir passif, elle joue dans notre psychologie un rôle agissant. Les images créées par l'art remplissent dans notre vie deux rôles très différents et presque opposés : tantôt elles y insinuent des manières de sentir et de penser, nous les imposent; tantôt, elles nous libèrent, au contraire, de certaines obsessions, de certaines forces qui travaillaient notre inconscient. ».
- En quoi la pièce Bérénice de Racine s'inscrit-elle dans l'élégie et en quoi s'inscrit-elle dans la tragédie ?
- Dans quelle mesure une correspondance privée non fictive peut-elle intéresser un public auquel elle n'est pas a priori destinée ?
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Michelet (l'homme et l'oeuvre)
MICHELET (i 798-t87') CHEFS-D'OOUVI\IC HISTORIQUES 1. MICHELET. - Notice biographique, - Extraits historiques 8\ Notre France': Historique. - Les Extraits : 1° Narrations et tableaux; 2° Les pays et les races; 3• Les hommes. - Étude littéraire : L'historien. - L'écrivain. Notice biographique (i). - Jules Michelet naquit à Paris, le 21 août 1798, et passa une enfance assez triste dans l'ate lier de son père qui était imprimeur. _Cependant, au milieu des livres, son esprit avide d...
- Pourquoi la lettre est-elle un moyen privilégié de connaître la personnalité de quelqu'un ? En quoi est-elle plus « parlante » qu'un portrait dressé par un tiers ?
- Que pensez-vous de cette opinion de Marcel Proust: La lecture est au seuil de la vie spirituelle: elle peut nous y introduire; elle ne la constitue pas ?
- Pensez-vous que la littérature doive s'inspirer d'événements historiques réels et se nourrir de documents authentiques ? Quel parti peut-elle en tirer ? Quels dangers cela peut-il présenter pour elle ?
- Flaubert, Madame Bovary, III, 8 - Il la questionna ; elle ne répondit pas...
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La comédie est-elle en mesure de corriger les moeurs ou se borne-t-elle à faire rire ?
Introduction : La comédie est définie généralement de façon simpliste comme une pièce de théâtre divertissante ayant pour but de faire rire. Elle met en scène des personnages qui appartiennent aux catégories moyennes de la société (principalement des esclaves, valets, commerçants, bourgeois, mais rarement des nobles, qui sont des personnages de tragédie), et dont les aventures se terminent dans un dénouement heureux. Cependant notre sujet envisage une autre fonction de la comédie, dépassant le...
- Dans quelle mesure une correspondance privée non fictive peut-elle intéresser un public auquel elle n'est pas a priori destinée ? Vous vous appuierez sur les textes du corpus et sur vos lectures de l'année, pour répondre à cette question ?
- Selon Bernanos, on ne comprend rien à la civilisation moderne si on n'admet pas d'abord qu'elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. La littérature contemporaine est-elle le reflet de cette civilisation et encourt-elle la même condamnation ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Certe, elle n'était pas femme et charmante en vain
- Abbé Prévost, Manon Lescaut - Elle me répondit des choses si touchantes sur son repentir...
- Abbé Prévost, Manon Lescaut - Elle me répondit des choses si touchantes sur son repentir...
- D'après un critique de théâtre, les pièces mettent souvent en scène des personnages à l'âme exceptionnelle, qui n'ont pas toujours raison socialement mais qui donnent du sens à la vie humaine. Votre lecture de théâtre confirme-t-elle ou nuance-t-elle ce jugement ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Elle était pâle, et pourtant rose...
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La littérature a-t-elle pour seule fonction de faire réfléchir ?
Analyse du sujet et problématisation Il s'agit d'un sujet sur la littérature en général. Il importe donc de définir ce qu'on entend par « littérature » ; la littérature peut être définie comme toute production de textes écrits à visée artistique et esthétique. On prendra ici littérature au sens plus concret d'œuvre littéraire. Le sujet invite donc à mobiliser des références issues de tous les genres littéraires. Le verbe « réfléchir »est aussi très vague et mérite d'être précisé. Réfléchir c'est...
- La réécriture du mythe assure-t-elle sa permanence ou le détruit-elle en le déformant ? Sans vous en tenir au mythe d'Orphée, vous répondrez à ces questions en vous appuyant sur les textes du corpus, sur les oeuvres étudiées en classe et sur vos lectures personnelles ?
- « Aussi vaine que les nuages, aussi nécessaire que le pain, la poésie n'est plus forcément une maîtresse d'illusions. Elle peut être aussi, elle doit être surtout la réalité profonde prise aux mots, une vérité qui se fait chant » : Trouvez-vous que ces propos définissent correctement toute ambition poétique ?
- Jean-Marie G. Le Clézio : « Elles sont belles, les fumées... »
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Elle sait que l'attente est un cruel supplice
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Jeanne chante ; elle se penche
- En vous appuyant sur votre connaissance et sur votre sensibilité, vous expliquerez et discuterez ce point de vue sur la poésie formulé par Claude Roy lors de sa réception du premier Goncourt de la poésie en septembre 1985 : Aussi vaine que les nuages, aussi nécessaire que le pain, la poésie n'est pas forcément une maîtresse d'illusions. Elle peut être aussi, elle doit être surtout la réalité profonde prise aux mots, une vérité qui se fait chant ?
- Dans la scène du dénouement, Perdican s'exclame « Orgueil, le plus fatal des conseillers humains, qu'es-tu venu faire entre cette fille et moi ? » et un critique, Jean Giraud, écrit de Camille : « Elle est tout orgueil. Elle met une intelligence aiguë, une volonté redoutable, au service de son amour propre ». En analysant le comportement des protagonistes d'On ne badine pas avec l'amour, vous montrerez que ce proverbe de Musset est effectivement un drame de l'orgueil. Mais n'est-il que cela ?
- Jean-Marie G. Le Clézio : « Elles sont belles, les fumées... »
- Xavier FORNERET (1809-1884) - Elle (1)
- Commentez ce point de vue de Brunetière sur La Chanson de Roland dans ses Études critiques sur l'histoire de la littérature française : « Le poème est assez mal composé : la Chanson n'a pas de commencement, car la trahison de Ganelon y est sans cause et même sans prétexte ; elle n'a pas de fin, car la victoire de Charlemagne y demeure quasiment sans effet ; elle n'a pas de centre, car la mort de Roland n'y occupe pas plus de place que la bataille de Charlemagne contre les Sarrasins » ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Elle avait pris ce pli ...
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« Le philosophe se sert de la fiction comme d'une grille à travers laquelle l'esprit du lecteur doit saisir une intention et une pensée. Dans la mesure où elle renvoie à cette pensée, la fiction est un prétexte et le lecteur doit sentir comme telle ». Vos connaissances du conte voltairien vous permettent-elles d'expliquer cette affirmation ?
Cette citation met en regard deux mondes : d'un côté, le monde du philosophe, qui manie "l'intention" et la "pensée", c'est-à-dire les idées; de l'autre, le monde de l'écrivain et du lecteur, qui repose sur la "fiction". Ces deux mondes sont supposés se rencontrer dans le genre de la fiction philosophique. Les contes philosophiques de Voltaire peuvent en fournir un parfait exemple : ils sont constitués de courtes fictions, qui reposent sur l'art de la simplification et du grossissement, dans le...
- L'écrivain Cocteau (1889-1963) définit ainsi la poésie : « L'espace d'un éclair nous voyons un chien, un fiacre, une maison pour la première fois. Voilà le rôle de la poésie. Elle dévoile dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement. Mettez un lieu commun en place, nettoyez- le, frottez-le,éclairez-le de telle sorte qu'il frappe avec sa jeunesse et la avec la même fraîcheur, le même jet qu'il avait à sa source, vous ferez oeuvre de poète ». ?
- Xavier FORNERET (1809-1884) - Elle (2)
- Flaubert, l'Éducation sentimentale, I, 1 - Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans...
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Julien Gracq
Julien Gracq Julien Gracq, de son vrai nom Louis Poirier, naît à St Florent-le-Vieil en Anjou, le 27 juillet 1910. Écrivain exigeant, il est l'auteur, à ce jour, d'une oeuvre respectée dans le monde entier. Il a une idée de la littérature : pour lui, elle est sacrée, elle demande une langue parfaite. Il y aurait presque une notion de menace dans la vie littéraire telle qu'il la conçoit. C'est pourquoi, il restera fidèle, durant toute sa carrière, à son premier éditeur, José Corti, qui a publié A...
- Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie II.
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Madame Simone
Madame Simone 1877-1985 Née à Paris, élève au lycée Racine. Étudiante à la Sorbonne, Pauline Benda suivit les cours de Boutroux et de Faguet et, au Collège de France, ceux de Ribot et de Pierre Janet. S'intéressant à la pathologie expérimentale, elle songea à se consacrer à l'étude des maladies mentales. Mais sa famille s'opposa à ce projet et lui fit prendre des cours de diction, qu'elle suivit sans conviction. Sarah Bernhardt, pourtant, la décida à paraître sur scène : elle débuta au Gymnase e...
- En vous inspirant du texte de Ponge prenez un objet banal et transformez-le en lui donnant une vie particulière. Texte de Ponge : Le Pain La surface du pain est merveilleuse d'abord à cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne : comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. Ainsi donc une masse amorphe en train d'éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses... Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des soeurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent : elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable... Mais brisons-la : car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de consommation. ?