Résultats pour "parce"
- Ecrit-on, selon vous, son autobiographie parce qu'on se voit ou parce qu'on ne se voit pas ?
- Guillaume LE ROUILLÉ (1494-1550) - Épître au nom des rossignols du parc d'Alençon
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les pièces d'eau, songeant dans les parcs taciturnes
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Dans le parc ...
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'Hécatombe à Diane) - Dans le parc de Thalcy, j'ai dressé deux plançons
-
Pour Rousseau, les Fables de La Fontaine ne jouent pas leur rôle éducatif parce qu'elles donnent à voir ce qu'il ne faut pas faire. Vous discuterez son point de vue en prenant appui sur la fonction traditionnelle des apologues et sur les moyens mis en oeuvre pour faire passer un message didactique et moral.
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet oppose deux points de vue différents sur la finalité didactique de l'apologue : celui de Rousseau qui se présente comme sceptique à la portée didactique de la fable chez La Fontaine, et, celui d'Erasme qui, au contraire, applaudit son efficacité. La question posée interroge la portée éducative de l'apologue. L'apologue est un discours narratif, souvent allégorique, en vers ou en prose ayant une fonction démonstrative et une visée argumentative et ren...
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - La tristesse dans le parc
- Dans quelle mesure pouvez-vous affirmer que : Si Polyeucte est la plus parfaite des tragédies c'est peut-être parce que le métier y est d'une adresse achevée ?
- Ernest Lavisse a dit dans un discours à des enfants: j'ai appris à aimer le 18e siècle malgré ses illusions, parce qu'il a été un siècle humain succédant à un siècle dur ?
- Rousseau est le premier qui ait forcé tout le beau monde à sortir des salons et à quitter la grande allé du parc pour la vraie promenade aux champs (Sainte-Beuve). qu'en pensez-Vous ?
- Dans la lettre XIX des Liaisons Dangereuses, Cécile Volanges précise : « j'espère aussi que vous ne direz à personne que je vous ai écrit ; parce que sûrement on m'en blâmerait, et que cela pourrait vous causer bien du chagrin ».
-
A l'aide d'exemples précis, vous expliquerez et discuterez cette phrase d'un critique contemporain sur la création littéraire : « On n'écrit pas parce qu'on sait, on écrit pour tenter d'éclairer la part d'ombre qui nous échappe. »
A l'aide d'exemples précis, vous expliquerez et discuterez cette phrase d'un critique contemporain sur la création littéraire : « On n'écrit pas parce qu'on sait, on écrit pour tenter d'éclairer la part d'ombre qui nous échappe. » La formule proposée a le mérite de nous permettre de distinguer la littérature du langage scientifique. Un savant n'écrit que pour faire connaître le résultat de ses recherches, une fois que celles-ci sont achevées. Le texte qu'il rédige est l'expression d'une pensée p...
- « Les utopies sont déprimantes parce qu'elle ne laissent place au hasard, à la différence, aux divers... Tout y a été mis en ordre et l'ordre règne », disait Georges Perec. Il rejoint René Char qui s'interrogeait : « Comment peut-on vivre sans inconnu devant soi ? » Vous vous interrogerez à partir de ces propos, dans un développement argumenté, sur la portée de l'utopie ?
- Dans la lettre XIX des Liaisons Dangereuses, Cécile Volanges précise : j'espère aussi que vous ne direz à personne que je vous ai écrit ; parce que sûrement on m'en blâmerait, et que cela pourrait vous causer bien du chagrin. La lettre favorise en effet la confidence et l'expression de la sensibilité. Vous discuterez cette caractérisation en prenant appui sur l'oeuvre étudiée et sur les autres lectures que vous avez faites ?
- Dans la lettre XIX des Liaisons Dangereuses, Cécile Volanges précise : j'espère aussi que vous ne direz à personne que je vous ai écrit ; parce que sûrement on m'en blâmerait, et que cela pourrait vous causer bien du chagrin. La lettre favorise en effet la confidence et l'expression de la sensibilité. Vous discuterez cette caractérisation en prenant appui sur l'oeuvre étudiée et sur les autres lectures que vous avez faites ?
-
Dans le journal d'un poète, en 1836, Alfred de Vigny écrivait: Le drame est vrai puisque, dans une action tantôt comique, tantôt tragique, suivant les caractères, il finit avec tristesse comme la vie des hommes puissants de caractère, énergiques de passion. Le drame n'a été appelé bâtard que parce qu'il n'est ni comédie ni tragédie. [...] Mais les vivants sont ainsi. Vous expliquerez cette opinion en l'illustrant à partir des drames romantiques que vous connaissez ?
Stùets traités Dans le Joumol d'uu jJoèlt, en 18.'36, Alrred de Vigny écri,·ait :
- « C'est propre la tragédie. (...) Et puis surtout c'est reposant la tragédie, parce qu'on sait qu'il n'y a plus d'espoir, le sale espoir ; qu'on est pris, qu'on est pris comme un rat, avec tout le ciel sur notre dos, et qu'on n'a plus qu'à crier, pas à gémir, non, pas à se plaindre, - à gueuler à pleine voix ce qu'on avait à dire, qu'on avait jamais dit et qu'on ne savait peut-être même pas encore ». Dans quelles mesures cette définition de la tragédie correspond-elle à Phèdre de Racine ?
- Pour Rousseau les fables de La Fontaine ne jouent pas leur rôle éducatif parce qu'elles donnent à voir ce qu'il ne faut pas faire. Vous discuterez son point de vue en prenant appui sur la fonction traditionnelle des apologues et sur les moyens mis en oeuvre pour faire passer un message didactique et moral ?
-
Si je me suis mis au roman, c'est parce que j'avais rencontré dans cet apprentissage nombres de difficultés et de contradictions, et qu'en lisant divers grands romanciers, j'avais eu l'impression qu'il y avait là une charge poétique prodigieuse, donc que le roman, dans ses formes les plus hautes, pouvait être un moyen de résoudre, dépasser ces difficultés, qu'il était capable de recueillir tout l'héritage de l'ancienne poésie. (M. Butor).Quelles réflexions vous inspire ce témoignage ?
Analyse du sujet et problématisation : Cette dissertation invite à comparer les genres littéraires que sont le roman et la poésie. La citation, extraite du chapitre « Le roman et la poésie » de Répertoire II de Michel Butor, concerne une réflexion personnelle de l'écrivain à partir de sa propre expérience de l'écriture et aussi de la lecture ("apprentissage", "divers grands romanciers").L'écriture romanesque est présenté comme très complexe et difficile, ambiguë, si bien que l'écrivain en conclu...
- Que pensez-vous de ce jugement porté en 1859 par Baudelaire sur le réalisme : « Dans ces derniers temps nous avons entendu dire de mille manières différentes : « Copiez la nature; ne copiez que la nature. Il n'y a « pas de plus grande jouissance ni de plus beau triomphe « qu'une copie excellente de la nature. » Et cette doctrine, ennemie de l'art, prétendait être appliquée non seulement à la peinture, mais à tous les arts, même au roman, même à la poésie. A ces doctrinaires si satisfaits de la nature un homme imaginatif aurait certainement eu le droit de répondre : « Je trouve inutile et fastidieux « de représenter ce qui est, parce que rien de ce qui est « ne me satisfait. La nature est laide, et je préfère les « monstres de ma fantaisie à la trivialité positive. » (Curiosités esthétiques. Salon de 1859, Édition de la Pléiade, p. 764.) ?
-
Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujours un délire, à savoir l'inadéquation fondamentale du langage et du réel. Je disais à l'instant que le littérature est catégoriquement réaliste, en ce qu'elle n'a jamais que le réel pour objet de désir ; et je dirai maintenant, sans me contredire [...], qu'elle est tout aussi obstinément irréaliste ; elle croit sensé le désir de l'impossible. Roland Barthes, Leçon inaugurale prononcée le 7 janvier 1977 au Collège de France (Paris, Seuil, 1978). Vous commenterez et discuterez ces propos ?
« Depuis les temps anciens jusqu'aux tentatives de l'avant-garde, la littérature s'affaire à représenter quelque chose. Quoi ? Je dirai brutalement : le réel. Le réel n'est pas représentable et c'est parce que les hommes veulent sans cesse le représenter par des mots, qu'il y a une histoire de la littérature [...] ou pour mieux dire des productions de langage, qui serait l'histoire des expédients verbaux, souvent très fous pour réduire, apprivoiser, nier, ou au contraire assumer ce qui est toujo...
- Commentez et discutez ces lignes de Baudelaire : « L'art est-il utile? Oui. Pourquoi ? Parce qu'il est l'art. Y a-t-il un art pernicieux? Oui. C'est celui qui dérange les conditions de la vie. Le vice est séduisant, il faut le peindre séduisant; mais il traîne avec lui des maladies et des douleurs morales singulières. Il faut les décrire. Etudiez toutes les plaies comme un médecin qui fait, son service dans un hôpital, et l'école du bon sens, l'école exclusivement morale, ne trouvera plus où mordre. Le crime est-il toujours châtié, la vertu gratifiée? Non; mais cependant si votre roman, si votre drame est bien fait, il ne prendra envie à personne de violer les lois de la nature. La première condition nécessaire pour un art sain est la croyance à l'unité intégrale. Je défie qu'on me trouve un seul ouvrage d'imagination qui réunisse toutes les conditions du beau et qui soit un ouvrage pernicieux. » (L'Art romantique, « Les drames et les romans honnêtes ».) ?