Résultats pour "nos"
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Nos sens, nos sens divins ...
- Nous n'héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants - Saint Exupéry ?
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Dans son essai sur Les Personnages, Sylvie Germain, romancière contemporaine, écrit: tous les personnages sont des dormeurs clandestins nourris de nos rêves et de nos pensées. Cette conception du personnage vous paraît-t-elle partagée par les romanciers que vous connaissez.
Définition des termes du sujet Le sujet porte sur la question de la nature des personnages de romans. Il en propose une définition métaphorique, qui tend vers la poésie beaucoup plus que vers la théorie littéraire, si bien qu'il va falloir être particulièrement attentif à expliciter cette métaphore et à en mettre en évidence les enjeux, en s'y arrêtant assez longuement dans l'introduction du devoir. On peut remarquer d'abord le caractère absolu et général du propos de Sylvie Germain, puisqu'elle...
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Renan a dit, dans son Discours de réception à l'Académie française : « Le génie de Victor Hugo a sonné chaque heure de notre siècle, donné un corps à chacun de nos rêves, des ailes à chacune de nos pensées.» En vous appuyant sur les pages du grand poète que vous connaissez le mieux, vous essaierez de démontrer la justesse de cette phrase.
Renan a dit, dans son Discours de réception à l'Académie française : « Le génie de Victor Hugo a sonné chaque heure de notre siècle, donné un corps à chacun de nos rêves, des ailes à chacune de nos pensées.» En vous appuyant sur les pages du grand poète que vous connaissez le mieux, vous essaierez de démontrer la justesse de cette phrase. Avant-propos: L'ambition maîtresse de Victor Hugo a été d'être « l'écho sonore » de son siècle. Ce mot aide à comprendre le sens qu'il faut attacher à la formu...
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : L'Hécatombe à Diane) - Nos désirs sont d'amour la dévorante braise
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque nos heures sont remplies
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Sitôt que nos bouches se touchent
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Si nos coeurs ont brûlé en des jours exaltants
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - Usons ici le fiel de nos fâcheuses vies
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - A compter nos brebis je remplace ma mère
- Pierre-Aimé Touchard écrivait dans une étude récente sur Molière : « l'auteur dramatique n'est auteur que parce qu'il est lui-même le théâtre d'un incessant conflit qu'il ne peut ni résoudre ni dépasser, et dont il essaye de se délivrer en l'objectivant, en le dépliant sous nos yeux. » Vous examinerez quelques exemples pour expliquer et au besoin discuter cette assertion.
- Peut-on considérer Ronsard comme le véritable ancêtre de nos Romantiques ?
- Pourquoi la littérature nous permet d'affiner et de préciser nos idées sur des sujets variés ?
- «Nous sommes habitués depuis l'enfance à préférer nos propres usages qui nous semblent supérieurs aux autres.» ?
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : La chute d'un ange) - Choeur des cèdres du Liban
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Nos morts
- Le roman nous aide-t-il à découvrir un sens à nos vies ?
- Baudelaire, Au Lecteur in les Fleurs du mal
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Au lecteur
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Madame de Sévigné, Lettre du 3 février 1695 à Emmanuel de Coulanges.
Mme de Chaulnes me mande que je suis trop heureuse d'être ici avec un beau soleil ; elle croit que tous nos jours sont filés d'or et de soie. Hélàs ! mon cousin, nous avons cent fois plus de froid ici qu'à Paris ; nous sommes exposés à tous les vents ; c'est le vent du midi, c'est la bise, c'est le diable, c'est à qui nous insultera ; ils se battent entre eux pour avoir l'honneur de nous renfermer dans nos chambres ; toutes nos rivières sont prises ; le Rhône, ce Rhône si furieux, n'y résiste pa...
- Octave CRÉMAZIE (1827-1879) - Le Chant des voyageurs
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Etude littéraire de ce passage de Mme de Sévigné, extrait d'une lettre qu'elle adressait de Grignan, le 3 février 1695, à son cousin Emmanuel de Coulanges, l'année qui précéda sa mort.
Etude littéraire de ce passage de Mme de Sévigné, extrait d'une lettre qu'elle adressait de Grignan, le 3 février 1695, à son cousin Emmanuel de Coulanges, l'année qui précéda sa mort. Mme de Chaulnes me mande que je suis trop heureuse d'être ici avec un beau soleil; elle croit que tous nos jours sont filés d'or et de soie. Hélas! mon cousin, nous avons cent fois plus de froid ici qu'à Paris; nous sommes exposés à tous les vents; c'est le vent du midi, c'est la bise, c'est le diable, c'est à qui...
- Clément MAROT, « La litanie des bons compagnons »
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Symphonie héroïque) - Symphonie héroïque
- Apollinaire GINGRAS (1847-1935) - La patrie
- Victor de LAPRADE (1812-1883) (Recueil : Symphonies et poèmes) - Symphonie alpestre
- Que faut-il entendre, selon vous, lorsque, de nos jours, on qualifie un paysage, une idée, un sentiment, une révolution ou un être de « romantique » ? Aimez-vous personnellement ce qui est « romantique ». Tentez de fonder votre définition et votre sentiment sur l'évocation précise de quelques exemples probants ?
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MALHERBE: Prière pour le Roi Henri le Grand, allant en Limousin
Localisation du morceau. Cette poésie est une œuvre de circonstance. Elle a été composée pu Malherbe h la demande du roi Henri IV qui allait partir (septembre pour le Limousin, où devaient se tenir les Grands Jours. Malherbe, alors âgé de cinquante ans, venait d'arriver à Paris et fut présenté à la cour par un de ses amis, le poète normand Des Yveteaux, mais y était précédé par sa réputation. On lui propose d'être l'interprête de la nation à l'égard du roi, qui est en train d'accomplir la enivre...
- VOLTAIRE, Traité sur la tolérance, 1763. Chapitre XXIII
- Seriez-vous aussi sévère qu'un critique affirmant, à propos de la reprise des mythes antiques par les dramaturges modernes : « Il y a une étonnante mesquinerie à rapetisser ainsi ces grandes figures qui, sur la route de l'humanité, incarnent nos éternelles passions. » ? Pour répondre, vous vous appuierez sur la pièce étudiée cette année ?
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Lamartine a dit de Voltaire qu'il était "LA MEDAILLE DU PAYS". Il veut signifier par là que, de tous nos écrivains, c'est Voltaire qui incarne le plus complètement et le plus parfaitement l'esprit français, et que nous retrouvons en lui les traits principaux de notre caractère. Expliquez et appréciez ce jugement ?
82 XVIII 0 SI:ti:CLB VOLTAIRE Lamartine a dit de Voltaire qu'il était ela Médaille du pays. • Il veut signifier par là que, de tous nos écrivains, c'est Voltaire qui incarne le plus complètement et le plus parfaitement l'esprit français, et que nous retrouvons en lui les traits principaux cù notre caractère. Expliquez et appréciez ce jugement. Voltaire a eu la plus grande fortune littéraire qu'on ait jamais vue. Il a été considéré comme le plus grand poète de son temps et l'égal des plus gran...
- Guillaume, abbé de CHAULIEU (1639-1720) - A Madame la marquise de Lassay
- Louis-Honoré FRÉCHETTE (1839-1908) (Recueil : La Légende d'un peuple) - Le dernier drapeau blanc
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Les vaincus
- Cardinal de BERNIS (1715-1794) - Sur l'amour de la patrie
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Ode
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On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nos, leur crie-t-on. Hélas ! Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi ! (Victor HUGO). qu'en pensez-vous ?
Le lyrisme est absent de la poésie du XVIIe siècle. Pour Malherbe lui-même les thèmes lyriques ne sont que des lieux communs qu'il développe à la façon d'un orateur : Stances à Du Perrier. C'est seulement au XIXe siècle, avec le Romantisme et sous l'influence de Jean-Jacques et de Chateaubriand, que la poésie deviendra vraiment l'âme qui se révèle et se répand. Ce n'a pas été sans protestation et le Parnasse sera une réaction contre la poésie personnelle (sonnet de Leconte de Lisle : les Montreu...
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Le passé
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Les Tragiques) - Tu vois, juste vengeur, les fleaux de ton Eglise
- François FABIÉ (1846-1928) (Recueil : Fleurs de genêts) - Terre de France
- Voltaire, Traité sur la tolérance à l'occasion de la mort de Jean Calas (1763), chapitre XXIII
- Voltaire, Traité sur la tolérance à l'occasion de la mort de Jean Calas (1763), chapitre XXIII.
- Louise ACKERMANN (1813-1890) (Recueil : Poésies philosophiques) - Pascal
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VOLTAIRE, Le Mondain1 (1736)
Voltaire, « Le Mondain ». 1. Regrettera qui veut le bon vieux temps, 2. Et l’âge d’or, et le règne d’Astrée, 3. Et les beaux jours de Saturne et de Rhée, 4. Et le jardin de nos premiers parents; 5. Moi, je rends grâce à la nature sage 6. Qui, pour mon bien, m’a fait naître en cet âge 7. Tant décrié par nos tristes frondeurs : 8. Ce temps profane est tout fait pour mes moeurs. 9. J’aime le luxe, et même la mollesse, 10. Tous les plaisirs, les arts de toute espèce, 11. La propreté, le goût, les o...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Après l'hiver
- Jean-Baptiste ROUSSEAU (1671-1741) (Recueil : Odes) - Ode tirée du Psaume CXLV
- Pierre LOUŸS (1870-1925) - Pervigilium mortis
- Nicolas GILBERT (1750-1780) - Le dix-huitième siècle
- Claude-Emmanuel Lhuillier, dit CHAPELLE (1626-1686) - L'hiver
- Après avoir écrit : « Au même Baudelaire appartient une autre initiative. Le premier parmi nos poètes, il subit, il invoque, il interroge la Musique... », Paul Valéry affirme : « Ce qui fut baptisé : le Symbolisme, se résume très simplement dans l'intention commune à plusieurs familles de poètes (d'ailleurs ennemies entre elles) de reprendre à la Musique leur bien. » (Variété I, Avant-propos à « La connaissance de la Déesse », pp. 95 et 97. Valéry pense à la phrase où Mallarmé parle d'un art capable « d'achever la transposition, au livre, de la symphonie ou uniment de reprendre notre bien ».) Vous commenterez cette affirmation. ?