76 résultats pour "main"
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Quel est, parmi les grands romanciers du XIXe siècle (Balzac, George Sand, Flaubert), celui que vous préférez ? Vous donnerez les raisons de votre préférence.
Quel est, parmi les grands romanciers du XIXe siècle (Balzac, George Sand, Flaubert), celui que vous préférez ? Vous donnerez les raisons de votre préférence. PLAN DE DISSERTATION Toute préférence suppose l'étude des qualités et des défauts que présentent les personnes ou les objets que l'on compare. On dira donc d'abord, très brièvement, quelles qualités plaisent et quels défauts choquent chez les deux romanciers qu'on veut éliminer, et on insistera davantage sur les qualités qui ont décidé de...
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Miguel de Cervantes
Miguel de Cervantes Cervantes naquit à Alcala de Henarès (Castille) dans une famille d'origine sociale modeste ; son père était un chirurgien apothicaire. Devenu soldat, il combattit en 1571 dans la bataille navale de Lépante où il perdit sa main gauche. Il participa à plusieurs combats dans les années suivantes. En 1575, sa galère tomba aux mains des Barbaresques qui le capturèrent et l'emmenèrent en Algérie comme esclave. Au terme de cinq années de captivité, émaillées d'intrépides tentatives...
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Zola, Thérèse Raquin, Chapitre IV
Zola, Thérèse Raquin, Chapitre IV Thérèse jouait avec une indifférence qui irritait Camille. Elle prenait sur elle François, le gros chat tigré que Mme Raquin avait apporté de Vernon, elle le caressait d'une main, tandis qu'elle posait les dominos de l'autre. Les soirées du jeudi étaient un supplice pour elle ; souvent elle se plaignait d'un malaise, d'une forte migraine, afin de ne pas jouer, de rester là oisives, à moitié endormie. Un coude sur la table, la joue appuyée sur la paume de la mai...
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La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait tout
TEXTE La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait toute seule, nous prenions le ton que nous donnaient nos coeurs. Enfin ma modestie, d'autres diront ma sottise, fut telle que la plus grande privauté qui m'échappa fut de baiser une seule fois la main de Mlle Galley. Il est vrai que la circons...
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Georges Bernanos, Sous le soleil de Satan
M'aimes-tu ? » dit-elle tout à coup d'une voix où la plainte se faisait étrangement grave et dure. Puis elle ajouta aussitôt : Je te demande ça à cause d'une idée que j'ai dans la tête. Quelle idée ? M'aimes-tu ? » reprit-elle soudain de la même voix. En même temps, elle se levait, toute vibrante, ridiculement nue dans son manteau entrouvert, nue et menue, et dans les yeux ce même regard d'où l'orgueil était tombé. ... Réponds-moi ? dit-elle encore, réponds-moi vite ! Voyons... Germaine... Rien...
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Nathalie SARRAUTE, Le planétarium
« Qui est là? — C'est moi, ton frère, c'est Pierre... » Il entend comme un pépiement, un remue-ménage heureux, un déclic rapide, un bruit de chaîne léger, joyeux, la porte s'ouvre... « Ah, c'est toi... » Il avait oublié ce regard sous les paupières usées, fardées, un bon regard d'où ruisselle une tendre émotion... « C'est toi, Pierre... Mais bien sûr que tu ne me déranges pas... Je suis contente de te voir, tu viens si rarement... Mais fais voir un peu, que je te regarde, que je regarde un peu l...
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : Poèmes posthumes) - Songe
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Syrtes) - Ariette
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- Sabine SICAUD (1913-1928) (Recueil : Premiers poèmes) - Vigne vierge d'automne
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Asseyons-nous tous deux près du chemin
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Un écrivain contemporain écrit : Le poète a un pied dans la boue, un oeil sur les étoiles et un poignard dans la main . Cette vision du poète vous paraît-elle pouvoir s'appliquer à Hugo dans les poèmes de Châtiments que vous avez étudiés ?
Cette description du poète utilise exclusivement des images, ce qui laisse une certaine marge à l'interprétation : la "boue", ce peut être plusieurs choses : la réalité banale et quotidienne, parfois laide; ou alors plus spécifiquement cet élément peut désigner par métonymie le peuple, c'est-à-dire les petites gens "crottés". Dans les deux cas ce sont des éléments qui n'ont traditionnellement pas vraiment leur place en poésie. "L'oeil sur les étoiles" semble plus conforme au caractère traditionn...
- Aldous Huxley, Le Meilleur des mondes
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Jocelyn) - Les laboureurs
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Stances) - Complainte à sa dame
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Dieu
- Poème sur le désastre de Lisbonne ou examen de cet axiome : "tout est bien"
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- Samuel Beckett (1906-1989), En attendant Godot (1953), Acte 1.
- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Les Tragiques) - Tu vois, juste vengeur, les fleaux de ton Eglise
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Auguste de Villiers de L'Isle-Adam Contes cruels
L'idée dominante est déjà présente dans le titre «Fleurs de ténèbres» qui associe deux mots d'acceptions très différentes. Si le vocable fleurs évoque la fraîcheur, la grâce, le renouveau de la nature, le mot « ténèbres », lui, évoque le jour qui faiblit, la crainte de la nuit, l'obscurité de la mort, la sombre malfaisance de l'au-delà, la perdition et la damnation. C'est donc associer l'espérance de vie à la certitude de la mort. Étrange association donc que celle que fait pressentir le tit...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les rythmes souverains) - Le paradis
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Mémoires d'Outre-Tombe de Chateaubriand - Chapitre 14.
Chateaubriand, Mémoires d’Outre-Tombe, Livre III, Chapitre 14 Tentation. Bientôt, ne pouvant plus rester dans ma tour, je descendais à travers les ténèbres, j'ouvrais furtivement là porte du perron comme un meurtrier, et j'allais errer dans le grand bois. Après avoir marché à l'aventure, agitant mes mains, embrassant les vents qui m'échappaient ainsi que l'ombre, objet de mes poursuites, je m'appuyais contre le tronc d'un hêtre ; je regardais les corbeaux que je faisais envoler d'un arbre pour s...
- Auguste ANGELLIER (1848-1911) - L'habitude
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Odes politiques) - Contre la peine de mort
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Sapho
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- Boris Vian, L'Ecume des jours, (le mariage de Colin et Chloé).
- Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Acte IV, scène 9.