180 résultats pour "mère"
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Ma mère
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Espana) - Au bord de la mer
- Jacques GRÉVIN (1538-1570) - Délivre-moi, Seigneur, de cette mer profonde
- Raymond RADIGUET (1903-1923) (Recueil : Poèmes inédits) - Quand je suis au bord de la mer
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Odelettes) - La grand'mère
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Comme tel qui parle de sa mère
- Victor Hugo, Les travailleurs de la mer (II,IV,1).
- Jean GODARD (1564-1630) - Mère des Dieux, brune chasse-lumière
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- Léon-Pamphile LE MAY (1837-1918) (Recueil : Les goutelettes) - La mer morte
- José-Maria de HEREDIA (1842-1905) (Recueil : Les Trophées) - Mer montante
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - La mer
- André Mage de FIEFMELIN (1560-1603) - Comme un navire en mer au fort de la tourmente
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - A compter nos brebis je remplace ma mère
- Laurent DRELINCOURT (1626-1680) (Recueil : Sonnets chrétiens) - Sur le passage de la Mer Rouge
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mère
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Comme l'on voit de loin sur la mer courroucée
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - France, mère des arts, des armes et des lois
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Nuict, mere des soucis, cruelle aux affligez
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Au bord de la mer
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Victor Hugo, les Travailleurs de la mer, IIe partie, livre IV, chapitre 2.
[Introduction] D'aucuns se sont souvent intéressés aux frères ennemis (Caïn et Abel, Etéocle et Polynice), aux jumeaux (Les Météores de Michel Tournier), au bâtard face aux fils légitimes (Les Frères Karamazov de Dostoïevski). Zola cherche plutôt à montrer les orientations très différentes prises par des enfants issus du même lit : Etienne Lantier incarne l'idéal révolutionnaire (Germinal), Jacques Lantier la folie homicide (La Bête humaine) et Claude Lantier le génie de l'artiste-peintre (L'Œuv...
- François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848) (Recueil : Tableaux de la nature) - Le soir au bord de la mer
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Ma nef passe au destroit d'une mer courroucée
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Adieux a la mer
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Comme un corps féminin que la mère Nature
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- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - Mets-moi dessus la mer d'où le soleil se lève
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Marcel PROUST, Le Côté de Guermantes.
Marcel PROUST, Le Côté de Guermantes. Le narrateur reconduit à la maison sa grand-mère qui vient d'être victime d'une congestion cérébrale durant une promenade aux Tuileries. Le soleil déclinait ; il enflammait un interminable mur que notre fiacre avait à longer avant d'arriver à la rue que nous habitions, mur sur lequel l'ombre, projetée par le couchant, du cheval et de la voiture, se détachait en noir sur le fond rougeâtre, comme un char funèbre dans une terre cuite de Pompéi. Enfin nous arriv...
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"L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste de la politique, l'excitant essentiel de la gloire et des grandes amours, - l'origine d'une quantité de recherches et de méditations." (Valéry)
La condition mortelle de l'homme et la conscience qu'il en a l'invitent à repousser ces limites, ces entraves à son action. L'idée de mort, parce qu'elle est inexorable et représente un mystère insondable, ne déclenche pas un réflexe d'impuissance chez l'homme mais explique au contraire la plupart de ses activités. Ainsi Valéry, préfaçant le livre de James Frazer La Peur des morts écrit : « L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste...
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Bernanos donnait, à la question: Quel personnage de roman ou de théâtre vous est le plus sympathique ? La réponse suivante: Don Quichotte. Vous-même, en réfléchissant à ce que représente la notion de sympathie vis-à-vis des héros de fiction et en faisant appel à vos souvenir de lectures ou d'études, quel personnages de roman ou de fiction pourrez-vous citer ?
Introduction Don Quichotte étant devenu par la grâce de Massenet et de... Jacques Brel, personnage de théâtre autant que de roman, c'est à la scène que nous emprunterons notre héros le plus sympathique, ce qui ne veut pas dire le plus beau ou le plus vertueux mais celui que nous aurions voulu connaître et avec qui il nous aurait plu de vivre... au moins un moment. Développement (Schématique) Nous choisirons, dans l'œuvre de Brecht, Mère Courage, ainsi appelée « parce qu'elle a peur de perdre son...
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François René de CHATEAUBRIAND, Itinéraire de Paris à la Palestine
Introduction En 18o6, Chateaubriand entreprend un long voyage dans ce qu'on appelait « Orient », c'est-à-dire les pays de la Méditerranée orientale. Quelques années plus tard, il publie ses souvenirs de voyage sous le titre Itinéraire de Paris à Jérusalem. Dans un passage de cet ouvrage il évoque sa visite en août 1806 du célèbre site du Cap Sounion, promontoire de l'Attique où se dressent les ruines du temple de Poséidon, dieu des Mers de la Grèce ancienne. Ce texte se présente d'abord au lecte...
- Marcel PAGNOL, Le château de ma mère.
- Francis Ponge, « La jeune-mère »
- Cohen, Le Livre de ma mère (1954)
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- Victor Hugo, Les travailleurs de la mer
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Marcel Proust, Les Plaisirs et les Jours.
Celui qui est las des chemins de la terre ou qui devine, avant de les avoir tentés, combien ils sont âpres et vulgaires, sera séduit par les pâles routes de la mer, plus dangereuses et plus douces, incertaines et désertes. Tout y est plus mystérieux, jusqu'à ces grandes ombres qui flottent parfois paisiblement sur les champs nus de la mer, sans maisons et sans ombrages, et qui étendent les nuages, ces hameaux célestes, ces vagues ramures. La mer a le charme des choses qui ne se taisent pas la nu...
- VERCORS « L'impuissance», in Le Silence de la mer.
- Albert Cohen : Le Livre de ma mère (1954)
- Albert Cohen, Le Livre de ma mère, 1954.
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« Toute l'invention, dit Racine, consiste à faire quelque chose de rien. » Expliquez cette phrase par une étude de son théâtre.
L'INVENTION DANS LE THEATRE DE RACINE ' « Toute l'invention, dit Racine, consiste à faire quelque chose de rien. » Expliquez cette phrase par une étude de son théâtre. Introduction : Par le mot « rien », il faut entendre un sujet réduit à un rien, c'est-à-dire très simple (premier point). Pour faire preuve d'invention, le poète tragique devra tirer de ce rien quelque chose. Et comment ? Racine nous le dit lui-même dans sa première préface de Britannïcus : en inventant une action très simple ell...
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La Lionne et l'Ourse de Jean de La Fontaine, Fable XII, Livre X
[Introduction] Écrivain du xviie siècle, Jean de La Fontaine a marqué l'histoire d'un genre, celui de la fable ; ses fables mettent souvent en' scène des animaux dans une petite histoire qui illustre ou amorce la morale. C'est le cas dans la fable 12 du livre X des Fables : « La Lionne et l'Ourse » ; le désespoir de celle-ci à la mort de son enfant est le point de départ de la mise en scène et de la réflexion. Nous verrons donc comment ce texte reprend les éléments de la tradition fabuliste, pou...
- Résumé: Vingt mille lieues sous les mers de JULES VERNE
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Henri Queffelec
Henri Queffelec 1910-1992 Né à Brest, il entra à l'E.N.S., resta quatre années lecteur à l' Université d'Upsala, en Suède, mais ne fut professeur qu'un an. A partir de sa mise en congé, en 1942, il se consacre entièrement à son oeuvre qui comporte des romans, des essais et des recueils de nouvelles. Le Journal d'un Salaud, Un Recteur de l'île de Sein, La Fin d'un manoir le classèrent parmi les meilleurs romanciers de sa génération. Un Royaume sous la mer a reçu le Grand Prix du Roman de l'...
- Georges de MÉRÉ (16xx-16xx) - Au temps heureux où régnait l'innocence
- Jules BRETON (1827-1906) (Recueil : Les champs et la mer) - Nocturne
- Jules BRETON (1827-1906) (Recueil : Les champs et la mer) - Automne
- Jules BRETON (1827-1906) (Recueil : Les champs et la mer) - Le soir
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Notre mère la ville) - Mon pays
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Notre mère la ville) - La victoire
- Jules BRETON (1827-1906) (Recueil : Les champs et la mer) - L'Artois
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Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poésies diverses) - Nox
Charles-Marie LECONTE DE LISLE, Poésies diverses, « Nox ». Nox 1. Sur la pente des monts les brises apaisées 2. Inclinent au sommeil les arbres onduleux ; 3. L'oiseau silencieux s'endort dans les rosées, 4. Et l'étoile a doré l'écume des flots bleus. 5. Au contour des ravins, sur les hauteurs sauvages, 6. Une molle vapeur efface les chemins ; 7. La lune tristement baigne les noirs feuillages ; 8. L'oreille n'entend plus les murmures humains. 9. Mais sur le sable au loin chante la Mer divine, 10...
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Notre mère la ville) - Mon corps