134 résultats pour "l+heure"
- Ernest BUSSY (1864-1886) - Écrit dans une heure d'angoisse
- Félix ARVERS (1806-1850) (Recueil : Mes heures perdues) - L'anniversaire
- Félix ARVERS (1806-1850) (Recueil : Mes heures perdues) - Sonnet
- Félix ARVERS (1806-1850) (Recueil : Mes heures perdues) - Ospitalita
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les débâcles) - Heure d'automne
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Oh ! ce bonheur
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Pour nous aimer des yeux
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Et qu'importent et les pourquoi et les raisons
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - L'heure du berger
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Avec mes vieilles mains...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Fut-il en nous une seule tendresse
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Avec le même amour que tu me fus jadis
- Renée VIVIEN (1877-1909) (Recueil : A l'heure des mains jointes) - Je pleure sur toi...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Combien elle est facilement ravie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Le printemps jeune et bénévole
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Quoique nous le voyions fleurir
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Pour que rien de nous deux n'échappe à notre étreinte
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Ô la splendeur de notre joie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Vivons, dans notre amour et notre ardeur
- Félix ARVERS (1806-1850) (Recueil : Mes heures perdues) - Sonnet à mon ami R...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Oh ! tes si douces mains...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Hélas ! les temps sont loin...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Je t'apporte, ce soir...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Sitôt que nos bouches se touchent
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- Renée VIVIEN (1877-1909) (Recueil : A l'heure des mains jointes) - Je t'aime d'être faible...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Je dédie à tes pleurs, à ton sourire
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Bien que déjà, ce soir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Viens lentement t'asseoir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Au clos de notre amour, l'été se continue
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Tout ce qui vit autour de nous
- Renée VIVIEN (1877-1909) (Recueil : A l'heure des mains jointes) - En débarquant à Mytilène
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Vous m'avez dit, tel soir...
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Le ciel en nuit, s'est déplié
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Dis-moi, ma simple et ma tranquille amie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Que nous sommes encor heureux et fiers de vivre
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Si nos coeurs ont brûlé en des jours exaltants
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Lorsque tu fermeras mes yeux à la lumière
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Je suis sorti des bosquets du sommeil
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Viens jusqu'à notre seuil répandre
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Je noie en tes deux yeux mon âme tout entière
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Des fleurs fines et mousseuses comme l'écume
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Asseyons-nous tous deux près du chemin
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Les barques d'or du bel été
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Très doucement, plus doucement encore
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Le soir tombe, la lune est d'or
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - La glycine est fanée et morte est l'aubépine
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Si d'autres fleurs décorent la maison
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Et te donner ne suffit plus, tu te prodigues
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Le clair jardin c'est la santé
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Ardeur des sens, ardeur des coeurs...