Résultats pour "elle+"
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Elle était déchaussée, elle était décoiffée...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Elle est gaie et pensive ; elle nous fait songer
- Selon l'opinion de deux auteurs contemporains, interpréter signifie dans son emploi courant: donner un sens à, et aussi s'agissant du théâtre: jouer, donner une image visuelle. l'interprétation du texte de théâtre est indispensable [...]. Elle peut être le fait des acteurs [...] Elle est aussi le fait du metteur en scène.[...]. Elle est, enfin, le fait du lecteur qui imagine selon ses goûts et sa culture les personnages, leurs faits et gestes, et charge donc le texte de sens divers. En faisant référence à vos lectures de pièces et aux spectacles que vous avez pu voir, vous expliquerez dans quelle mesure vous partagez cette opinion. ?
- Commentez cette page d'Albert Camus: « L'art formel et l'art réaliste sont des notions absurdes. Aucun art ne peut refuser absolument le réel. La Gorgone est sans doute une créature purement imaginaire; son mufle et les serpents qui la couronnent sont dans la nature. Le formalisme peut parvenir à se vider de plus en plus de contenu réel, mais une limite l'attend toujours. Même la géométrie pure où aboutit parfois la peinture abstraite demande encore au monde extérieur sa couleur et ses rapports de perspective. Le vrai formalisme est silence. De même, le réalisme ne peut se passer d'un minimum d'interprétation et d'arbitraire. La meilleure des photographies trahit déjà le réel, elle naît d'un choix et donne une limite à ce qui n'en a pas. L'artiste réaliste et l'artiste formel cherchent l'unité où elle n'est pas, dans le réel à l'état brut, ou dans la création imaginaire qui croit expulser toute réalité. Au contraire, l'unité en art surgit au terme de la transformation que l'artiste impose au réel. Elle ne peut se passer ni de l'une ni de l'autre. Cette correction, que l'artiste opère par son langage et par une redistribution d'éléments puisés dans le réel, s'appelle le style et donne à l'univers recréé son unité et ses limites. » (L'Homme révolté, pp. 332-333.) ?
- « J'aime la comédie, elle me délasse, elle me divertit » écrit Sacha Guitry. Commentez.
- La poésie peut-elle et soit-elle traiter des événements contemporains ?
- La littérature d'idées combat-elle les préjugés ou en est elle victime ?
- La littérature et la peinture doivent-elles peuvent-elles représenter la réalité telle qu'elle est ?
- Vous illustrerez et discuterez cette opinion de René Huyghe, en vous fondant sur votre expérience personnelle des oeuvres littéraires ou artistiques : « L'oeuvre d'art n'est pas un simple miroir passif, elle joue dans notre psychologie un rôle agissant. Les images créées par l'art remplissent dans notre vie deux rôles très différents et presque opposés : tantôt elles y insinuent des manières de sentir et de penser, nous les imposent; tantôt, elles nous libèrent, au contraire, de certaines obsessions, de certaines forces qui travaillaient notre inconscient. ».
- En quoi la pièce Bérénice de Racine s'inscrit-elle dans l'élégie et en quoi s'inscrit-elle dans la tragédie ?
- Dans quelle mesure une correspondance privée non fictive peut-elle intéresser un public auquel elle n'est pas a priori destinée ?
- Pourquoi la lettre est-elle un moyen privilégié de connaître la personnalité de quelqu'un ? En quoi est-elle plus « parlante » qu'un portrait dressé par un tiers ?
- Que pensez-vous de cette opinion de Marcel Proust: La lecture est au seuil de la vie spirituelle: elle peut nous y introduire; elle ne la constitue pas ?
- Pensez-vous que la littérature doive s'inspirer d'événements historiques réels et se nourrir de documents authentiques ? Quel parti peut-elle en tirer ? Quels dangers cela peut-il présenter pour elle ?
- Flaubert, Madame Bovary, III, 8 - Il la questionna ; elle ne répondit pas...
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La comédie est-elle en mesure de corriger les moeurs ou se borne-t-elle à faire rire ?
Introduction : La comédie est définie généralement de façon simpliste comme une pièce de théâtre divertissante ayant pour but de faire rire. Elle met en scène des personnages qui appartiennent aux catégories moyennes de la société (principalement des esclaves, valets, commerçants, bourgeois, mais rarement des nobles, qui sont des personnages de tragédie), et dont les aventures se terminent dans un dénouement heureux. Cependant notre sujet envisage une autre fonction de la comédie, dépassant le...
- Dans quelle mesure une correspondance privée non fictive peut-elle intéresser un public auquel elle n'est pas a priori destinée ? Vous vous appuierez sur les textes du corpus et sur vos lectures de l'année, pour répondre à cette question ?
- Selon Bernanos, on ne comprend rien à la civilisation moderne si on n'admet pas d'abord qu'elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure. La littérature contemporaine est-elle le reflet de cette civilisation et encourt-elle la même condamnation ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Certe, elle n'était pas femme et charmante en vain
- Abbé Prévost, Manon Lescaut - Elle me répondit des choses si touchantes sur son repentir...
- Abbé Prévost, Manon Lescaut - Elle me répondit des choses si touchantes sur son repentir...
- D'après un critique de théâtre, les pièces mettent souvent en scène des personnages à l'âme exceptionnelle, qui n'ont pas toujours raison socialement mais qui donnent du sens à la vie humaine. Votre lecture de théâtre confirme-t-elle ou nuance-t-elle ce jugement ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Elle était pâle, et pourtant rose...
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La littérature a-t-elle pour seule fonction de faire réfléchir ?
Analyse du sujet et problématisation Il s'agit d'un sujet sur la littérature en général. Il importe donc de définir ce qu'on entend par « littérature » ; la littérature peut être définie comme toute production de textes écrits à visée artistique et esthétique. On prendra ici littérature au sens plus concret d'œuvre littéraire. Le sujet invite donc à mobiliser des références issues de tous les genres littéraires. Le verbe « réfléchir »est aussi très vague et mérite d'être précisé. Réfléchir c'est...
- La réécriture du mythe assure-t-elle sa permanence ou le détruit-elle en le déformant ? Sans vous en tenir au mythe d'Orphée, vous répondrez à ces questions en vous appuyant sur les textes du corpus, sur les oeuvres étudiées en classe et sur vos lectures personnelles ?
- « Aussi vaine que les nuages, aussi nécessaire que le pain, la poésie n'est plus forcément une maîtresse d'illusions. Elle peut être aussi, elle doit être surtout la réalité profonde prise aux mots, une vérité qui se fait chant » : Trouvez-vous que ces propos définissent correctement toute ambition poétique ?
- Jean-Marie G. Le Clézio : « Elles sont belles, les fumées... »
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Promenades et Intérieurs.) - Elle sait que l'attente est un cruel supplice
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Jeanne chante ; elle se penche
- En vous appuyant sur votre connaissance et sur votre sensibilité, vous expliquerez et discuterez ce point de vue sur la poésie formulé par Claude Roy lors de sa réception du premier Goncourt de la poésie en septembre 1985 : Aussi vaine que les nuages, aussi nécessaire que le pain, la poésie n'est pas forcément une maîtresse d'illusions. Elle peut être aussi, elle doit être surtout la réalité profonde prise aux mots, une vérité qui se fait chant ?
- Dans la scène du dénouement, Perdican s'exclame « Orgueil, le plus fatal des conseillers humains, qu'es-tu venu faire entre cette fille et moi ? » et un critique, Jean Giraud, écrit de Camille : « Elle est tout orgueil. Elle met une intelligence aiguë, une volonté redoutable, au service de son amour propre ». En analysant le comportement des protagonistes d'On ne badine pas avec l'amour, vous montrerez que ce proverbe de Musset est effectivement un drame de l'orgueil. Mais n'est-il que cela ?
- Jean-Marie G. Le Clézio : « Elles sont belles, les fumées... »
- Xavier FORNERET (1809-1884) - Elle (1)
- Commentez ce point de vue de Brunetière sur La Chanson de Roland dans ses Études critiques sur l'histoire de la littérature française : « Le poème est assez mal composé : la Chanson n'a pas de commencement, car la trahison de Ganelon y est sans cause et même sans prétexte ; elle n'a pas de fin, car la victoire de Charlemagne y demeure quasiment sans effet ; elle n'a pas de centre, car la mort de Roland n'y occupe pas plus de place que la bataille de Charlemagne contre les Sarrasins » ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Elle avait pris ce pli ...
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« Le philosophe se sert de la fiction comme d'une grille à travers laquelle l'esprit du lecteur doit saisir une intention et une pensée. Dans la mesure où elle renvoie à cette pensée, la fiction est un prétexte et le lecteur doit sentir comme telle ». Vos connaissances du conte voltairien vous permettent-elles d'expliquer cette affirmation ?
Cette citation met en regard deux mondes : d'un côté, le monde du philosophe, qui manie "l'intention" et la "pensée", c'est-à-dire les idées; de l'autre, le monde de l'écrivain et du lecteur, qui repose sur la "fiction". Ces deux mondes sont supposés se rencontrer dans le genre de la fiction philosophique. Les contes philosophiques de Voltaire peuvent en fournir un parfait exemple : ils sont constitués de courtes fictions, qui reposent sur l'art de la simplification et du grossissement, dans le...
- L'écrivain Cocteau (1889-1963) définit ainsi la poésie : « L'espace d'un éclair nous voyons un chien, un fiacre, une maison pour la première fois. Voilà le rôle de la poésie. Elle dévoile dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement. Mettez un lieu commun en place, nettoyez- le, frottez-le,éclairez-le de telle sorte qu'il frappe avec sa jeunesse et la avec la même fraîcheur, le même jet qu'il avait à sa source, vous ferez oeuvre de poète ». ?
- Xavier FORNERET (1809-1884) - Elle (2)
- Flaubert, l'Éducation sentimentale, I, 1 - Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans...
- En vous inspirant du texte de Ponge prenez un objet banal et transformez-le en lui donnant une vie particulière. Texte de Ponge : Le Pain La surface du pain est merveilleuse d'abord à cause de cette impression quasi panoramique qu'elle donne : comme si l'on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. Ainsi donc une masse amorphe en train d'éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s'est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses... Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des soeurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent : elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable... Mais brisons-la : car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de consommation. ?
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Combien elle est facilement ravie
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Elle s'avance, comme je viens
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Que ton âme soit blanche ou noire
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Les oeuvres de fiction vous paraissent-elles le meilleur moyen pour convaincre le lecteur ?
« Une fiction littéraire » est une définition qui peut s'appliquer à tous types d'œuvres littéraires. La formule ne pose pas forcément le problème du contraste entre réalité et imagination, car un roman même réaliste, même autobiographique est une fiction – à savoir un ensemble de productions issues de l'imagination créatrice des auteurs et cela quelle que soit la part de réalité et de fiction qui s'y trouve. Ainsi, en partant de ce postulat il est légitime de s'interroger sur l'étendu du rôle d...
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La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait tout
TEXTE La journée se passe de cette sorte à folâtrer avec la plus grande liberté, et toujours avec la plus grande décence. Pas un seul mot équivoque, pas une seule plaisanterie hasardée ; et cette décence, nous ne nous l'imposions point du tout, elle venait toute seule, nous prenions le ton que nous donnaient nos coeurs. Enfin ma modestie, d'autres diront ma sottise, fut telle que la plus grande privauté qui m'échappa fut de baiser une seule fois la main de Mlle Galley. Il est vrai que la circons...
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Selon vous la littérature doit-elle influer sur l'éducation morale et sociale du lecteur ?
Analyse du sujet et problématisation : Ce sujet englobe la littérature dans son ensemble, sans distinction de genres. Nous devons tenter ici de donner une définition de la littérature afin de délimiter le cadre de la dissertation. C'est la littérature en tant qu'art qui nous intéressera ici. D'une manière générale, la littérature regroupera ici les œuvres ayant soit un but esthétique soit une forme esthétique particulière. La dimension esthétique est donc la finalité de la littérature, critère q...
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Dans quelle mesure la fiction littéraire est-elle capable de convaincre et de persuader le lecteur ?
« Une fiction littéraire » est une définition qui peut s'appliquer à tous types d'œuvres littéraires. La formule ne pose pas forcément le problème du contraste entre réalité et imagination, car un roman même réaliste, même autobiographique est une fiction – à savoir un ensemble de productions issues de l'imagination créatrice des auteurs et cela quelle que soit la part de réalité et de fiction qui s'y trouve. Ainsi, en partant de ce postulat il est légitime de s'interroger sur l'étendu du rôle d...
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« La poésie n'est pas un ornement, elle est un instrument », a prétendu Victor Hugo. Commentez ?
« La poésie n'est pas un ornement, elle est un instrument », a prétendu Victor Hugo. Commentez. Introduction : a) La poésie, qui chante nos joies ou nos douleurs, est éternelle. Mais doit-elle sa pérennité à sa Beauté ? b) Victor Hugo ne semble pas croire à cette explication quand il écrit : « La poésie n'est pas un ornement, elle est un instrument ». c) Qu'entend-il par là et pouvons-nous être d'accord ? I. — Thèse de Hugo : Elle exprime une double conception : A. — La poésie n'est pas un ornem...
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Est-elle almée ?
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Vergers) - Cette lumière peut-elle