Résultats pour "donne+moi"
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Sonnets pour Hélène) - Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Baise m'encor, rebaise-moi et baise
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Crois-moi
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Il pleut. je n'ai plus rien à dire de moi-même
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Les mains d'Elsa par Louis ARAGON
Introduction. 1. a) Aragon, poète surréaliste, a écrit de nombreux poèmes adressés à sa femme Eisa. b) Les mains d'Eisa, poème tiré du recueil Le Fou d'Eisa (1964). Thème de la femme qui apaise et sauve le poète par son amour. 2. Annonce de plan. I. L'angoisse du poète. II. Le rôle de la femme. III. La transfiguration par la prière. I. L'angoisse du poète. A. Les degrés de l'angoisse. Une montée dans l'angoisse, qui vient progressivement. 1. « L'inquiétude ». 1er stade : absence de tranquillité,...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - A celle qui est restée en France
- René-Guy Cadou : « Ah ! Je ne suis pas métaphysique, moi., extrait de Hélène ou le Règne végétal
- Italo Svevo – Fables
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - Que n'ai-je comme Bacchus
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Je te donne ces vers...
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Autres pensées faites un mois après la mort du roi
- Jean Anouilh (1910-1987), Antigone (1944).
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Hymne de l'enfant à son réveil
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Proche de la saison où les plus vives fleurs
- Montesquieu, Lettres persanes - Lettre XXIV
- Jules Romains, Knock, acte III, Scène 6
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Élégies) - Élégie troisième
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Cruelle, à quel propos prolonges-tu ma peine
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - La nuit d'août
- André Gide – Nourritures terrestres
- ROUSSEAU, Confessions, Livre IV, 1782.
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - La beauté
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Laissez. - Tous ces enfants sont bien là
- Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Acte I, scène 1.
- Marivaux, L'Île des esclaves, scène 2.
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Philosophie
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - Dolorida
- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : Satires) - Discours au roi
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - On donne les degrés au savant écolier
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Fierté, pardonne-moi !
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - Mets-moi dessus la mer d'où le soleil se lève
- Auguste BRIZEUX (1803-1858) (Recueil : Marie) - Le mois d'août
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Dans la préface de son recueil de poèmes Les Contemplations (1856), Victor Hugo répond à ceux qui se plaignent des écrivains qui disent moi : « Ah ! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi ! ?
LE ROMANTISME Hugo écrit dans une de ses préfaces : « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas P Ah ! insensé qui 1t:rois que je ne suis pas toi. » En appliquant ce jugement à l'ensemble de nos poètes roman~ tiques, vous montrerez que les sentiments qu'ils expriment, les grands problèmes qu'il évoquent, ont une portée largement humaine. (Rennes) LES GRANDES LIGNES DU PLAN Comme il arrive souvent, la citation n'est qu'un point de départ. Les indications pr...
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Combien de fois ai-je en moi souhaité
- Rémy BELLEAU (1528-1577) (Recueil : La Bergerie) - Embrasse-moi, mon coeur...
- Thérèse Martin, dite Sainte THÉRÈSE DE LISIEUX (1873-1897) (Recueil : Poésies) - Mon Ciel à moi !
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Puisqu'ici-bas toute âme
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Les Pleurs) - Malheur à moi
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Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXIV - Nous sommes à Paris depuis un mois...
Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXIV – « Nous sommes à Paris depuis un mois… » RICA A IBBEN A Smyrne. Nous sommes à Paris depuis un mois, et nous avons toujours été dans un mouvement continuel. Il faut bien des affaires avant qu'on soit logé, qu'on ait trouvé les gens à qui on est adressé, et qu'on se soit pourvu des choses nécessaires, qui manquent toutes à la fois. Paris est aussi grand qu'Ispahan: les maisons y sont si hautes, qu'on jugerait qu'elles ne sont habitées que par des astrolo...
- Claude-Joseph DORAT (1734-1780) (Recueil : Les baisers) - L'étincelle
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Marie, baisez-moi ; non, ne me baisez pas
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Vous illustrerez par l'étude d'une tragédie de Racine cette définition que La Bruyère donne du poème tragique : « Le poème tragique vous serre le coeur dès son commencement, vous laisse à peine dans tout son progrès la liberté de respirer et de vous remettre ; ou s'il vous donne quelque relâche, c'est pour vous replonger dans de nouveaux abîmes, dans de nouvelles alarmes. Il vous conduit à la terreur par la pitié ou, réciproquement, à la pitié par la terreur, vous mène par les larmes, par les sanglots, par l'incertitude, par l'espérance, par la crainte, par les surprises et par l'horreur jusqu'à la catastrophe. » ?
INTRODUCTION La valeur d'une pièce de théâtre se mesure d'abord à l'emprise qu'elle exerce sur les spectateurs. D'emblée elle doit susciter leur intérêt à l'égard des personnages et des problèmes auxquels ils se heurtent. Et au cours du déroulement de la représentation, cet intérêt doit aller grandissant jusqu'au dénouement. La tragédie de Phèdre répond pleinement à ces exigences. Dès le premier acte, elle nous émeut par l'évocation du drame intérieur d'Hippolyte et de Phèdre. Elle ne nous fait...
- Le Horla de Maupassant. Pourquoi la figure du double comme clivage du moi, est-elle un des thèmes privilégiés fantastiques ?
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Ô l'ai je dict ? helas ! l'ai je songé ?
- Adolphe RETTÉ (1863-1930) (Recueil : Une belle dame passa) - La lune est d'argent sous les arbres roses
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : La visite) - Écoutez-moi si vous m'aimez
- Jean PASSERAT (1534-1602) - Ode du premier jour de mai
- Commentez cette page d'Albert Camus: « L'art formel et l'art réaliste sont des notions absurdes. Aucun art ne peut refuser absolument le réel. La Gorgone est sans doute une créature purement imaginaire; son mufle et les serpents qui la couronnent sont dans la nature. Le formalisme peut parvenir à se vider de plus en plus de contenu réel, mais une limite l'attend toujours. Même la géométrie pure où aboutit parfois la peinture abstraite demande encore au monde extérieur sa couleur et ses rapports de perspective. Le vrai formalisme est silence. De même, le réalisme ne peut se passer d'un minimum d'interprétation et d'arbitraire. La meilleure des photographies trahit déjà le réel, elle naît d'un choix et donne une limite à ce qui n'en a pas. L'artiste réaliste et l'artiste formel cherchent l'unité où elle n'est pas, dans le réel à l'état brut, ou dans la création imaginaire qui croit expulser toute réalité. Au contraire, l'unité en art surgit au terme de la transformation que l'artiste impose au réel. Elle ne peut se passer ni de l'une ni de l'autre. Cette correction, que l'artiste opère par son langage et par une redistribution d'éléments puisés dans le réel, s'appelle le style et donne à l'univers recréé son unité et ses limites. » (L'Homme révolté, pp. 332-333.) ?
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Premières poésies) - A Julie
- Jacques GRÉVIN (1538-1570) - Délivre-moi, Seigneur, de cette mer profonde