403 résultats pour "commentaire guillaume haudent 14xx 14xx variable discours humaine fragment 14432 5559"
- Pensez-vous que la lecture de romans serve à mieux comprendre et le monde ?
- Pensez-vous que la lecture de romans serve à mieux comprendre l'homme et le monde ?
- André Chénier
- Aimez-vous la poésie ? Que recherchez-vous lorsque vous lisez des poèmes ?
- Pierre-Aimé Touchard écrivait dans une étude récente sur Molière : « l'auteur dramatique n'est auteur que parce qu'il est lui-même le théâtre d'un incessant conflit qu'il ne peut ni résoudre ni dépasser, et dont il essaye de se délivrer en l'objectivant, en le dépliant sous nos yeux. » Vous examinerez quelques exemples pour expliquer et au besoin discuter cette assertion.
- Molière, Le Misanthrope ; Acte I, scène 1
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Epîtres) - A de Pange aîné
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - L'orgueil
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Pourquoi le couple du maître et du serviteur est-il tandem privilégié dans le théâtre, depuis sa création jusqu'à nos jours ? Quelles ressources offre-t-il à l'auteur, au metteur en scène et aux acteurs ? Quel intérêt peut-il présenter pour le public ?
Le duo maître/valet est véritablement un instrument fondamental de la comédie aux XVIIe et XVIII e siècles, voire au XIX e siècle. Il est donc intéressant de s'interroger sur les raisons de ce succès et sur l'enjeu de ces pièces de théâtre. Ce « couple privilégié » permet de mettre en place différents ressorts dramatiques : de Dom Juan au Mariage de Figaro en passant par le Jeu de l'amour et du hasard comment évolue-t-il et que nous révèle-t-il ? I/Maître et valet, un couple complémentaire mais...
- Romain ROLLAND, Au seuil de la dernière porte, Entretiens sur les Évangiles, Correspondances et inédits, Éditions du Cerf, 1989.
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Musset, Lorenzaccio - Acte III, scène 3
Musset, Lorenzaccio, acte III, scène 3. LORENZO. Tu me demandes pourquoi je tue Alexandre ? Veux-tu donc que je m’empoisonne, ou que je saute dans l’Arno ? veux-tu donc que je sois un spectre, et qu’en frappant sur ce squelette (il frappe sa poitrine), il n’en sorte aucun son ? Si je suis l’ombre de moi-même, veux-tu donc que je m’arrache le seul fil qui rattache aujourd’hui mon cœur à quelques fibres de mon cœur d’autrefois ? Songes-tu que ce meurtre, c’est tout ce qui me reste de ma...
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On ne doit écrire, on ne doit parler que pour l'instruction. Discutez ce point de vue de La Bruyère ?
Au XVIIe siècle, la manière de s'exprimer, à la cour de Louis XIV par exemple, prend une importance démesurée dans le jeu social : témoin le mouvement des Précieuses, dont s'est moqué Molière. Parallèlement, l'écriture, via les Fables ou les Caractères, illustre un impératif qui lie l'art au savoir : "docere, placere, movere". La Bruyère est en accord avec son temps lorsqu'il définit à l'expression parlée et écrite une vocation définie, qui est l'éducation : cette vocation prend la valeur d'un d...
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Musset, Lorenzaccio, III, 3.
Musset, Lorenzaccio, acte III, scène 3. LORENZO. Tu me demandes pourquoi je tue Alexandre ? Veux-tu donc que je m’empoisonne, ou que je saute dans l’Arno ? veuxtu donc que je sois un spectre, et qu’en frappant sur ce squelette (il frappe sa poitrine), il n’en sorte aucun son ? Si je suis l’ombre de moi-même, veux-tu donc que je m’arrache le seul fil qui rattache aujourd’hui mon cœur à quelques fibres de mon cœur d’autrefois ? Songes-tu que ce meurtre, c’est tout ce qui me reste de ma vertu? Song...
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Rimbaud, « Ophélie »
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par les eaux ; Le...
- François Tristan L'HERMITE (1601-1655) (Recueil : Les vers héroïques) - Sujet de la comédie des fleurs
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Quelles sont les véritables différences entre la prose et ta poésie ?
Introduction : a) On a souvent tendance à croire que tout ce qui s'écrit en vers est poésie, que tout ce qui s'écrit en prose est... disons : prose, faute d'un meilleur mot. b et c) Mais les faits sont là pour démentir cette opposition élémentaire. I. — Le démenti des faits : a) La versification n'est pas la poésie. Fénelon écrivait déjà dans la Lettre à l'Académie : « Il y a des gens qui font des vers sans poésie ». La poésie ne se réduit pas, en effet, au seul respect des règles de versificati...
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Ophélie
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par les eaux ; Le...
- Voltaire, Candide, chapitre 4. COMMENT CANDIDE RENCONTRA SON ANCIEN MAÎTRE DE PHILOSOPHIE, LE DOCTEUR PANGLOSS, ET CE QUI EN ADVINT
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Nathalie Sarraute
Nathalie Sarraute Natalya Tcherniak naît le 18 juillet 1900 à Ivanovo-Voznessensk près de Moscou. Elle quitte sa ville natale à l'âge de deux ans avec sa mère pour aller vivre à Paris jusqu'en 1906, puis à nouveau en Russie jusqu'en 1909. Depuis 1909 Nathalie Sarraute est, à Paris, une jeune écolière studieuse et douée pour les langues. Elle obtient une licence d'anglais à la Sorbonne en 1920, suit des études d'histoire à Oxford en 1920-21, histoire et sociologie à Berlin en 1922. Elle passe une...
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Usbek à Rhédi - Lettres 106 - Montesquieu - Les Lettres Persanes
Usbek s'oppose aux allégations de son ami Rhédi, en lui montrant que les arts entretiennent le goût du travail dans un pays, et contribuent donc à sa puissance. Tous travaillent pour gagner de l'argent et créent ainsi des richesses. Si l'on se contentait de fabriquer le nécessaire, l'État serait totalement affaibli; les rapports humains et économiques s'étioleraient, et tous vivraient misérables et isolés. Ce sont les arts qui créent le plus de valeurs, ils sont donc le soutien de la puissance d...
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Apulée
Apulée Apulée naquit dans une colonie romaine d'Afrique du Nord et étudia la rhétorique à Carthage et la philosophie de Platon à Athènes, avant d'exercer le droit à Rome. Il voyagea en Asie pour se faire initier aux cultes orientaux, notamment aux mystères d'Eleusis et de Mithra. A Tripoli, il épousa une veuve dont la richesse lui permit de se consacrer uniquement à l'écriture. Sa belle-famille, désapprouvant ce mariage, accusa Apulée d'avoir usé de magie pour séduire leur fille. Il rédigea pou...
- Mathurin REGNIER (1573-1613) - Satyre X
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Jonathan Swift
Jonathan Swift Voici des plus grands écrivains de tous les temps, et peut-être le plus malheureux. Sa vie ne fut qu'une longue colère. Son orgueil blessé le poussait à l'arrogance et à la brutalité. Swift était irlandais, donc rebelle, et il avait été au service des Grands, donc révolté. Ses premiers patrons lui avaient fait donner de petites prébendes ecclésiastiques. Vers 1701, à trente-quatre ans, il décida d'abandonner la théologie pour la politique. Plus exactement, ce Docteur en Divinité...
- Marie Shelley, Frankenstein.
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- François Mauriac, Le Baiser au lépreux.
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Quel est l'intérêt des réécritures ?
Analyse du sujet et problématisation Ce sujet prend place dans l'objet d'étude des « réécritures » en littérature. La réécriture en littérature c'est le fait de réécrire un texte en y apportant des modifications. La notion de réécriture est étudiée par Genette dans Palimpsestes : il crée pour nommer cette pratique d'écriture le terme d'« hypertextualité » désignant « toute relation unissant un texte B ( qu'[il] appeller[a] hypertexte) à un texte antérieur (qu'[il] appeler[a], bien sûr, hypotexte...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Le Songe de Vaux) - Le Songe de Vaux - Éloge de la Poésie
- Rabelais, Quart-Livre, chapitre 38
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Voltaire, Dictionnaire philosophique (1764), « Guerre »
Voltaire, Dictionnaire philosophique, « Guerre », 1764 Un généalogiste prouve à un prince qu’il descend en droite ligne d’un comte dont les parents avaient fait un pacte de famille il y a trois ou quatre cents ans avec une maison dont la mémoire même ne subsiste plus. Cette maison avait des prétentions éloignées sur une province dont le dernier possesseur est mort d’apoplexie: le prince et son conseil voient son droit évident. Cette province, qui est à quelques centaines de lieues de lui, a beau...
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« Il n'y a point de fatalité dans le roman ; au contraire le sentiment qui y domine est d'une vie où tout est voulu, même les passions et les crimes, même les malheurs ». Partagez-vous ce point de vue ? Vous pouvez vous appuyer sur votre connaissance de l'Assommoir de Zola.
Introduction Jusqu'au milieu du XXe siècle, la lecture des romans apparaît comme une activité licencieuse. Ainsi, le roman dans la société moderne a pour fonction de traiter les interdits, sur un mode fictif, mais dont le discours se constituent en regard de la norme, vis-à-vis de laquelle elle joue le rôle de contrepoids. Dès lors, il convient de s'interroger sur un paradoxe essentiel qui touche le héros de roman, et par extension le lecteur : qu'appelle-t-on une « vie où tout est voulu », dans...
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Que pensez-vous de cette réflexion de d'Alembert (Réflexions sur la poésie) : « Quand on prend la peine de lire des vers, on cherche et on espère un plaisir de plus que si on lisait de la prose » ?
INTRODUCTION Les recueils de poèmes ne rencontrent pas de nos jours, en librairie, le même succès que les romans ou même les ouvrages historiques. Toute une partie du public demeure fermée au charme des vers, et cette méconnaissance n'est pas le propre de notre temps : au XV IIIe siècle, les milieux cultivés n'étaient favorables qu'à la prose ; pourtant d'A lembert écrivait dans ses Réflexions sur la poésie : « Quand on prend la peine de lire des vers, on cherche et on espère un plaisir de plus...
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Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXIV - Nous sommes à Paris depuis un mois...
Montesquieu, Lettres persanes, lettre XXIV – « Nous sommes à Paris depuis un mois… » RICA A IBBEN A Smyrne. Nous sommes à Paris depuis un mois, et nous avons toujours été dans un mouvement continuel. Il faut bien des affaires avant qu'on soit logé, qu'on ait trouvé les gens à qui on est adressé, et qu'on se soit pourvu des choses nécessaires, qui manquent toutes à la fois. Paris est aussi grand qu'Ispahan: les maisons y sont si hautes, qu'on jugerait qu'elles ne sont habitées que par des astrolo...
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- Jacques DAVY DU PERRON (1555-1618) - Confession amoureuse
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Le Songe de Vaux) - Le Songe de Vaux - Éloge des Jardins
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Antoine de Saint-Exupéry
Antoine de Saint-Exupéry Parce qu'il est né dans une famille catholique, aristocratique et provinciale ; parce qu'il était aviateur et que la solidarité de l'équipage fut pour toujours pour lui le modèle des liens qui peuvent exister entre les hommes ; parce que son oeuvre ne nous propose guère que des exemples de courage, d'honneur et de fidélité ; parce que le Petit Prince fait la joie de tous les instituteurs du monde...; parce qu'il est mort "en plein ciel de gloire", à quarante-quatre ans.....
- Nicolas GILBERT (1750-1780) - Le dix-huitième siècle
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"L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste de la politique, l'excitant essentiel de la gloire et des grandes amours, - l'origine d'une quantité de recherches et de méditations." (Valéry)
La condition mortelle de l'homme et la conscience qu'il en a l'invitent à repousser ces limites, ces entraves à son action. L'idée de mort, parce qu'elle est inexorable et représente un mystère insondable, ne déclenche pas un réflexe d'impuissance chez l'homme mais explique au contraire la plupart de ses activités. Ainsi Valéry, préfaçant le livre de James Frazer La Peur des morts écrit : « L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste...
- Mathurin REGNIER (1573-1613) - Satyre XV
- Balzac, La Peau de Chagrin.
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Les Destinées) - La maison du berger (II)
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Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les Elégies) - Contre les bucherons de la forest de Gastine
Commentaire de l’élégie de Ronsard : « Contre les bucherons de la forest de Gastine » Introduction : Le texte à commenter est extrait de l’élégie de Ronsard intitulée « Contre les bucherons de la forest de Gastine ». Dans ce poème, Ronsard évoque la destruction de la forêt de Gastine, à côté de laquelle il vit, oscillant entre accusation et mélancolie. Projet de lecture : Comment l’écriture poétique dans ces deux strophes permet le développement d’une argumentation efficace et le passage de la d...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - La vie aux champs
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GIRAUDOUX - La Guerre de Troie n'aura pas lieu - Acte 1
[Giraudoux situe l'action de La Guerre de Troie n'aura pas lieu, juste avant la déclaration de guerre. Hector, revenant d'une campagne qu'il souhaite être la dernière, essaie d'éviter que les Grecs et les Troyens se battent à cause d'Hélène : il a convaincu peu à peu son entourage de la nécessité où l'on se trouve de restituer la jeune femme à son mari. Reste à persuader l'intéressée elle-même : c'est le sujet de la scène présente.] Hector. — Choisissez-vous le départ, oui ou non ? Hélène. — Ne...
- MAURICE SCÈVE
- Nicolas BOILEAU (1636-1711) (Recueil : Satires) - A M. l'abbé Le Vayer
- BALZAC, Le Cabinets des Antiques, 1839, Préface
- Nicolas-Germain LÉONARD (1744-1793) - La journée de printemps
- Montrer qu'en dépit de leur apparente diversité tous les grands ouvrages de Rousseau se rapportent à une thèse unique : « Tout est bien sortant des mains de l'auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme. » ?
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- Octave CRÉMAZIE (1827-1879) - Les Morts
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Premières poésies) - Les voeux stériles