515 résultats pour "bien+etre"
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Non, quand bien même une amère souffrance
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Si tu le veux bien, divine Ignorante
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Vigny écrit dans le Journal d'un poète : « J'aime peu la comédie, qui tient toujours plus ou moins de la charge et de la bouffonnerie.» Il précise plus loin sa pensée en disant: «Je sais apprécier la charge dans la comédie, mais elle me répugne parce que, dans tous les arts, elle enlaidit et appauvrit l'espèce humaine et, comme homme, elle m'humilie. » ?
Vigny écrit dans le Journal d'un poète : « J'aime peu la comédie, qui tient toujours plus ou moins de la charge et de la bouffonnerie.» Il précise plus loin sa pensée en disant: «Je sais apprécier la charge dans la comédie, mais elle me répugne parce que, dans tous les arts, elle enlaidit et appauvrit l'espèce humaine et, comme homme, elle m'humilie. » La comédie, de tous temps, a soulevé bien des controverses. Elle a eu d'ardents partisans comme d'acharnés détracteurs. On a pu vouloir lui confé...
- Jean-Baptiste CHASSIGNET (1571-1635) - Quant bien un homme droit condamné par la rage
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Bien que déjà, ce soir
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ecoutez la chanson bien douce
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Je sais bien qu'il est d'usage...
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Second livre des erreurs amoureuses) - Bien que Fortune en haut degré te range
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- Antoine FAVRE (1557-1624) (Recueil : Les Entretiens spirituels) - Il estoit bien seant que ce corps veritable
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Second livre des erreurs amoureuses) - Pourrai-je bien sans toi, ma chère guide
- Pour Montaigne, la vraie éducation doit être la conquête de la vraie liberté. Pensez-vous que cette formule de Pierre Moreau résume bien la pédagogie de Montaigne ?
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Bien des écrivains ont goûté et célébré la solitude. Avez-vous vous-même éprouvé l'utilité et le charme de la solitude ? Qu'il en soit ainsi ou non, essayez de dégager très sincèrement ce que vous ressentez dans un moment de solitude. Vous éclairerez votre analyse en comparant votre propre expérience avec les réactions que vous inspirent des écrivains comme Montaigne, Descartes, Pascal, La Fontaine, Rousseau, Chateaubriand, Lamartine, etc.
Bien des écrivains ont goûté et célébré la solitude. Avez-vous vous-même éprouvé l'utilité et le charme de la solitude ? Qu'il en soit ainsi ou non, essayez de dégager très sincèrement ce que vous ressentez dans un moment de solitude. Vous éclairerez votre analyse en comparant votre propre expérience avec les réactions que vous inspirent des écrivains comme Montaigne, Descartes, Pascal, La Fontaine, Rousseau, Chateaubriand, Lamartine, etc. Introduction : La solitude a inspiré ses Rêveries d'un...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Laissez. - Tous ces enfants sont bien là
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Bergeries) - Ô bien heureux qui peut passer sa vie
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Il paraît qu'il est immoral de parler de soi. Moi je ne sais guère que parler de moi. Le moi n'est pas du tout haïssable, bien au contraire, écrit Paul Léautaud dans son Journal. Qu'en pensez-vous ?
Blaise Pascal dans une formule célèbre des Pensées proclame que « le moi est haïssable ». Il s'en explique au nom de valeurs morales : « En un mot, le moi a deux qualités : il est injuste en soi, en ce qu'il se fait centre de tout ; il est incommode aux autres, en ce qu'il les veut asservir : car chaque moi est l'ennemi et voudrait être le tyran de tous les autres ! » (VII, 455). C'est pourquoi Pascal condamne les Essais de Montaigne : « Le sot projet qu'il a de se peindre ! » (II, 62). Trois si...
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Boris Vian, L'Ecume des jours, épilogue
Commentaire d’un extrait de L’écume des jours de Boris Vian Introduction : Cet extrait est tiré du dernier chapitre de L’écume des Jours de Boris Vian. Dans ce récit, la petite souris qui a accompagné les personnages tout au long du récit veut mettre un terme à sa vie. En effet, son « maître » Colin est très malheureux depuis la mort de sa femme Chloé et la souris ne supporte plus de le voir souffrir. Il passe ses journées à attendre au bord de l’eau que le nénuphar remonte ; la souris sait qu’...
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Rabelais fait donner par Gargantua à Pantagruel une éducation encyclopédique : «j'y veux un abîme de science», tandis que Montaigne préfère « une tête bien faite à une tête bien pleine ». Vous apprécierez brièvement les deux systèmes opposés et vous direz ensuite quel vous paraît être l'idéal d'une bonne éducation ?
Rabelais fait donner par Gargantua à Pantagruel une éducation encyclopédique : «J'y veux un abîme de science», tandis que Montaigne préfère « une tête bien faite à une tête bien pleine ». Vous apprécierez brièvement les deux systèmes opposés et vous direz ensuite quel vous paraît être l'idéal d'une bonne éducation. PLAN DÉTAILLÉ Introduction Successivement Rabelais et Montaigne ont exposé un programme d'éducation où se manifeste, avant tout, une réaction contre les méthodes et l'enseigneme...
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« Le principal mérite de Musset, dit Sainte-Beuve, est d'avoir réintroduit dans la poésie française l'esprit que semblaient en avoir banni l'imagination et le lyrisme. » Ces mots vous paraissent-ils bien caractériser l'oeuvre d'A. de Musset ?
« Le principal mérite de Musset, dit Sainte-Beuve, est d'avoir réintroduit dans la poésie française l'esprit que semblaient en avoir banni l'imagination et le lyrisme. » Ces mots vous paraissent-ils bien caractériser l'œuvre d'A. de Musset ? Pour apprécier cette opinion, il y aura lieu de se demander : 1.si l'esprit de Musset représente un aspect intéressant de son génie ; 2.si c'est par là que, comme le pense Sainte-Beuve, ce génie se manifeste de la façon la plus éminente. I. Il est certain q...
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Francisque Sarcey affirmait: Je suis convaincu qu'un drame excellent doit se pouvoir jouer dans une grange et y réussir, tout aussi bien que sur une grande scène, où s'ajoute pourtant au mérite de l'oeuvre, la séduction du décor et du costume. Expliquez et discutez ?
1. Le sujet se rapproche des deux précédents en ce sens qu'il nous invite à réfléchir sur l'essence du spectacle théâtral : cette essence est-elle dans le spectacle (« séduction du décor et du costume ») ou dans ce que Sarcey appelle d'un mot assez vague « le mérite de l'œuvre »? 2. Mais il est beaucoup plus large, puisque Sarcey oppose à une décoration tout extérieure le mérite intrinsèque d'une pièce : la psychologie, l'intrigue et peut-être même le jeu des acteurs, la mise en scène, en exclua...
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Écrivez un apologue en prose ayant pour morale la phrase de Cioran : La misère n'est pas un état transitoire : elle coïncide avec la certitude que, quoi qu'il arrive, vous n'aurez jamais rien, que vous êtes né en deçà du circuit des biens, que vous devez combattre pour respirer, qu'il faut conquérir jusqu'à l'air, jusqu'à l'espoir, jusqu'au sommeil. ?
Écrivez un apologue en prose ayant pour morale la phrase de Cioran : La misère n'est pas un état transitoire : elle coïncide avec la certitude que, quoi qu'il arrive, vous n'aurez jamais rien, que vous êtes né en deçà du circuit des biens, que vous devez combattre pour respirer, qu'il faut conquérir jusqu'à l'air, jusqu'à l'espoir, jusqu'au sommeil. Examen du sujet Le sujet est un sujet d'invention, combinant une contrainte formelle avec une contrainte thématique. La contrainte formelle est la...
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Robert Desnos - Extrait de "Corps et Biens"
Pistes méthodologiques Analyser le texte • Ce poème de Robert Desnos est un poème en prose de registre lyrique. La répétition au début de quatre paragraphes de la proposition « J'ai tant rêvé de toi... » (anaphore) y exprime l'enva¬hissement du rêve amoureux : le poète est entièrement habité, obsédé par la pensée de la femme aimée. • On comprend que le poète, en l'absence de la femme aimée, a cherché à l'évoquer, à lui donner corps par sa seule pensée mais avec des conséquences inverses de celle...
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En vous référant à votre expérience personnelle aussi bien qu'à votre connaissance du répertoire racinien, vous commenterez et, éventuellement discuterez cette affirmation d'Eugène Ionesco : « Il faut aller au théâtre comme on va à un match de football, de boxe, de tennis. Le match nous donne en effet l'idée la plus exacte de ce qu'est le théâtre à l'état pur : antagonismes en présence, oppositions dynamiques, heurts sans raison de volontés contraires » ?
Sujet: "Il faut aller au théâtre comme on va à un match de football", dit le dramaturge Eugène Ionesco, car le théâtre montre des "antagonismes en présence, [des] oppositions dynamiques, [des] heurts sans raison de volontés contraires" Que pensez-vous de cette conception du théâtre comme reposant sur l'affrontement ? - - On constate souvent que les évènements sportifs procurent aux spectateurs des émotions, parfois intenses. Il en est de même pour le théâtre selon Eugène Ionesco pour qui : "I...
- Utopie de Thomas More
- Denis Diderot, Le Neveu de Rameau
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Melancholia
Demande d'échange de corrigé de Faramond Victor ([email protected]). Sujet déposé :Commentaire rédigé sur Mélancholia de Victor Hugo. Le poème Mélancholia, apparaît dans le recueil des Contemplations, au livre III, dans la section « Les luttes et les Rêves », écrit et publié par Victor Hugo en avril 1856. Le poète engagé dans les causes sociales de son époque, dénonce dans ce texte le travail des jeunes enfants, soumis à la folie des hommes cupides. Nous allons étudier les différents moyens utilis...
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Pourquoi les personnages de comédie se déguisent-ils si souvent ? Vous vous demanderez quelles fonctions peut avoir le travestissement des personnages au théâtre ?
I _ La comédie se distingue du genre tragique dans la mesure où elle ne représente plus des être royaux ou divins, mais qu'elle s'attache au contraire à la représentation du monde populaire et bourgeois. Historiquement, les époques fécondes pour le théâtre de comédie correspondent systématiquement à l'émergence de classes bourgeoises : celle d'Aristophane en Grèce, de Goldoni en Italie du nord, de Corneille en France... _ Bien plus, le personnage de comédie par excellence qu'est le valet répond...
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Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La solitude
Marc-Antoine Girard, sieur de Saint-Amant, « La solitude ». 1. Ô ! que j'aime la solitude ! 2. Que ces lieux sacrés à la nuit, 3. Eloignés du monde et du bruit, 4. Plaisent à mon inquiétude ! 5. Mon Dieu! Que mes yeux sont contents 6. De voir ces bois qui se trouvèrent 7. A la nativité du temps, 8. Et que tous les Siècles révèrent, 9. Etre encore aussi beaux et verts, 10. Qu'aux premiers jours de l'Univers ! 11. Que j'aime à voir la décadence 12. De ces vieux châteaux ruinés, 13. Contre qui les...
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Thomas Mann
Thomas Mann Le 6 juin 1875, à Lübeck, se produit dans la respectable famille Mann un événement que l'usage qualifie d'heureux. On ne sait pas que Thomas sera différent. On devinera bientôt à son maintien qu'il ne faut pas trop compter sur lui pour s'occuper du négoce des grains. Mais ce rêveur ne va pas rester enfermé dans son rêve. Sa manière de vivre, c'est d'écrire. A vingt-cinq ans, il est déjà l'auteur d'un très gros roman, Les Buddenbrook, où il raconte l'histoire d'une famille, évidem...
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En y mêlant de la fantaisie romanesque, Rabelais nous a donné dans l'abbaye de Thélème son idéal de vie. Des gens « libères, bien nés et bien instruits » y font « ce qu'ils veulent ». C'est-à-dire qu'ils lisent, étudient, écrivent en vers et en prose, chantent, se donnent des concerts, jouent et chassent, etc. Vous vous demanderez dans quelle mesure Montaigne se serait accommodé de la Thélème de Rabelais.
En y mêlant de la fantaisie romanesque, Rabelais nous a donné dans l'abbaye de Thélème son idéal de vie. Des gens « libères, bien nés et bien instruits » y font « ce qu'ils veulent ». C'est-à-dire qu'ils lisent, étudient, écrivent en vers et en prose, chantent, se donnent des concerts, jouent et chassent, etc. Vous vous demanderez dans quelle mesure Montaigne se serait accommodé de la Thélème de Rabelais. Un pareil sujet comporte d'abord deux exposés analytiques d'idées : l'analyse de la doctrin...
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : Les quatrains d'Al-Ghazali) - Les êtres pour le Sage...
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Jean-Paul Sartre
Jean-Paul Sartre "Qu'il écrive ou qu'il travaille à la chaîne, qu'il choisisse une femme ou une cravate, l'homme manifeste : il manifeste son milieu professionnel, sa famille, sa classe et, finalement, comme il est situé par rapport au monde entier, c'est le monde qu'il manifeste." (Présentation des Temps modernes.) Si l'homme est, par nature, un "manifestant", la littérature qui l'exprime ne peut se proposer d'autre tâche que de dire cette manifestation, à tous ses niveaux : il n'est pas de gen...
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Je suis tant bien que je ne le puis dire
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- Jean de SPONDE (1557-1595) - Et quel bien de la Mort ? où la vermine ronge
- Etienne PASQUIER (1529-1615) - Celui vraiment savait bien la manière ...
- Jean Joseph VADÉ (1720-1757) - Le goût de bien des gens
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Aldous Huxley
Aldous Huxley Les premiers ouvrages d'Aldous Huxley sont marqués par un pessimisme notoire. A l'instar de Jonathan Swift, Huxley éprouvait à l'égard du corps en général, et de l'attrait sexuel en particulier, une invincible répugnance. "Swift, a-t-il écrit, n'a jamais pu pardonner à l'homme d'être à la fois un mammifère vertébré et une âme immortelle" ; et ces lignes pourraient s'appliquer aussi bien à leur auteur qu'à Swift. Huxley semble se complaire avec une sorte de masochisme dans les d...
- Isaac HABERT (1560-1615) - Je te dois bien aimer, ô déesse Inconstance
- Jean GODARD (1564-1630) - Le ciel est bien cruel de faire les uns naître
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Saint-Simon
Saint-Simon Ce qui rend d'ordinaire les "Mémoires" si ennuyeux, c'est que leurs auteurs attendent un âge avancé Pour les écrire. Après avoir passé leur vie à faire la guerre, l'amour de la politique, quand il ne leur reste plus assez de force ou d'esprit pour briller dans ces occupations, ils rédigent leur apologie et donnent un tour historique à leurs petites haines. Saint-Simon, lui, a sacrifié sa vie à ses Mémoires. Il les a commencés à dix-neuf ans et n'a, pour ainsi dire, travaillé...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - N'est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente
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- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - J'ai beau trouver bien sympathique
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Bonheur) - La vie est bien sévère
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Quand j'ai pensé en vous, ma bien-aimée
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Ballades) - Bien moustrez, Printemps gracieux
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Sonnets pour Hélène) - Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - J'ai dit à mon désir : pense à te bien guider
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Bien que les champs, les fleuves et les lieux
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Les cariatides) - Bien souvent je revois sous mes paupières closes
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- Le théâtre de l'absurde met en scène des personnages enlisés dans l'attente ou la monotonie de l'existence, il privilégie les anti-héros, les êtres anonymes et sans épaisseur ni caractère bien défini. ?
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Eugenio Montale
Eugenio Montale Les archétypes de la poésie de Montale se révèlent dans les paysages les plus sévères de la côte ligure : roc et mer, ascèse et ténacité. En lui, l'homme a certes pu éprouver les charmes de l'humanisme grand-bourgeois ; mais le poète a infléchi sa formation intellectuelle, essentiellement spiritualiste au départ et quelque peu dépourvue du sens de l'histoire, par la leçon de l'environnement de ses jeunes années : d'où l'abstention, la retenue, un quant à soi "stoïque". Né à Gêne...