320 résultats pour "1916"
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Chanson de fou (1)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Je t'apporte, ce soir...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - L'immobile beauté
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Au temps où longuement j'avais souffert
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Sitôt que nos bouches se touchent
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Je dédie à tes pleurs, à ton sourire
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Bien que déjà, ce soir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Chanson de fou (3)
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Viens lentement t'asseoir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Au clos de notre amour, l'été se continue
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Tout ce qui vit autour de nous
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Vieille ferme à la Toussaint
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Avec mes sens, avec mon coeur ...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - La louange du corps humain
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Pauvres vieilles cités
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Et maintenant que sont tombés les hauts feuillages
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Quand le ciel étoilé couvre notre demeure
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - L'Est, l'Ouest, le Sud, le Nord
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Le premier arbre de l'allée
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les ailes rouges de la guerre) - Un lambeau de patrie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Les tours au bord de la mer
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Le donneur de mauvais conseils
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Vous m'avez dit, tel soir...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Le ciel en nuit, s'est déplié
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Dis-moi, ma simple et ma tranquille amie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Que nous sommes encor heureux et fiers de vivre
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Si nos coeurs ont brûlé en des jours exaltants
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Lorsque tu fermeras mes yeux à la lumière
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Je suis sorti des bosquets du sommeil
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - C'était en juin, dans le jardin
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Viens jusqu'à notre seuil répandre
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Je noie en tes deux yeux mon âme tout entière
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Les menus faits, les mille riens
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Des fleurs fines et mousseuses comme l'écume
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Oh ! laisse frapper à la porte
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Lorsque ta main confie, un soir...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Tu arbores parfois cette grâce bénigne
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Asseyons-nous tous deux près du chemin
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Les barques d'or du bel été
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Très doucement, plus doucement encore
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Comme aux âges naïfs, je t'ai donné mon coeur
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Comme à d'autres, l'heure et l'humeur
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Le beau jardin fleuri de flammes
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Le soir tombe, la lune est d'or
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Mets ta chaise près de la mienne
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - La glycine est fanée et morte est l'aubépine
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Si d'autres fleurs décorent la maison
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Dans la maison où notre amour a voulu naître
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - Plus loin que les gares, le soir
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les vignes de ma muraille) - Les saints, les morts, les arbres et le vent