197 résultats pour "1907"
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - L'étoile au coeur
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Ô poète inquiet du monde
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - J'ai croisé sur la route où je vais dans la vie
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Ne mêle pas l'esprit aux choses de la chair
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Ah ! combien d'heures blondes
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Ce soir, sur le chemin sonore du coteau
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Vers le soleil s'en vont ensemble
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Si tu veux les voir, m'a dit une Fée
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- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Stances et poèmes) - La chanson de l'air
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - Douceur d'avril
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - L'amour maternel
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - C'est en toi, bien-aimé, que j'écoute
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Tu sommeilles ; je vois tes yeux sourire encor
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Ma fenêtre était large ouverte sur la nuit
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Tu rangeais en chantant pour le repas du soir
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Je t'apporte, buisson de roses funéraires
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- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - La maison serait blanche et le jardin sonore
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - J'étais couché dans l'ombre au seuil de la forêt
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Oh ! de grâce, fleur que je cueille
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - Au jour le jour
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - Aux amis inconnus
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Ô beau rosier du Paradis
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - L'aube blanche dit à mon rêve
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Ce soir après la pluie est doux...
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- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Je vais sur la pelouse humide de rosée
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Entrerai-je, ce soir, Seigneur, dans ta maison
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - J'écris ; entre mon rêve et toi la lampe chante
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Un silence se fit dans le déclin du jour
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - C'est le premier matin du monde
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Saison fidèle aux coeurs qu'importune la joie
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Goûte, me dit le Soir de juin avec douceur
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Cachée en ce beau lit de branches...
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- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Croquis italiens) - L'escalier de l'ara coeli
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Le soir léger, avec sa brume claire et bleue
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Le temps n'a point pâli ta souveraine image
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Pour couronner la blonde enfant aux yeux d'azur
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Un soir, au temps du sombre équinoxe d'automne
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - De ces terrasses où, le soir, il flotte encor
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Le tiède après-midi paisible de septembre
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Ah ! Seigneur, Dieu des coeurs robustes, répondez
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- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Parfois, sur les confins du sommeil qui s'achève
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - L'ambre, le seigle mûr, le miel plein de lumière
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Une aube pâle emplit le ciel triste
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Ô jeunesse, fervent et clair foyer d'amour
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Ève pleurait. Ses mains cachaient sa tête pâle
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Nous voici. Dans le ciel naît l'aurore nouvelle
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Pierre Jean Jouve
Pierre Jean Jouve 1887-1976 L'on s'accorde à dire que Baudelaire est à l'origine du mouvement poétique contemporain. Marcel Raymond ajoute que ce mouvement est double : qu'il comprend les artistes — c'est la filière Valéry-Mallarmé, et les voyants — c'est la filière qui va de Rimbaud aux "chercheurs d'aventures". Parmi ceux-ci, il range Jouve. Cependant il juge ainsi en 1933, quand Sueur de Sang vient de paraître : poème qui s'avance si vertigineusement dans l'homme souterrain que les mots en ef...