103 résultats pour "1898"
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Le silence déjà funèbre d'une moire
-
Stéphane MALLARME (1842-1898) - Hérodiade - Cantique de saint Jean
Introduction. Ce poème se rattache au cycle d'Hérodiade. Dans la « scène » avec la nourrice, Mallarmé associait de blanches visions à l'image d'une héroïne encore vierge. Il songe ici à Hérodiade devenue impure, à « celle qu'un sang farouche et radieux arrose », comme il l'a désignée déjà dans le poème intitulé Les Fleurs, à celle qui fit décapiter Saint Jean-Baptiste, trop ardent à dénoncer son union honteuse avec son oncle Hérode Antipas. Dans ce « Cantique », la victime est devenue bourreau;...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) (Recueil : Autres poèmes) - Dans le jardin
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Ses yeux
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Dimanches
- Stéphane MALLARME (1842-1898) (Recueil : Autres poèmes) - Rien au réveil que vous n'ayez
- Stéphane MALLARME (1842-1898) (Recueil : Autres poèmes) - Si tu veux nous nous aimerons
- Stéphane MALLARME (1842-1898) (Recueil : Autres poèmes) - Le château de l'espérance
-
- Stéphane MALLARME (1842-1898) (Recueil : Autres poèmes) - Dame sans trop d'ardeur...
- Stéphane MALLARME (1842-1898) - Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui ...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les chambres, dans le soir
- Stéphane MALLARME (1842-1898) (Recueil : Autres poèmes) - Rêve antique
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Douceur du soir !...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les cygnes blancs...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Vieux quais
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Béguinage flamand
-
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - Les glaces sont les mélancoliques gardiennes
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le miroir du ciel natal) - La lampe dans la chambre ...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Il flotte une musique éteinte...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans le silence et dans le soir de la maison
- Stéphane MALLARME (1842-1898) (Recueil : Autres poèmes) - En envoyant un pot de fleurs
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'air fraîchi, venant d'où...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Des cloches, j'en ai su qui cheminaient sans bruit
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'aquarium est si bleuâtre, si lunaire
-
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'étang d'un grand coeur...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - L'obscurité, dans les chambres, le soir...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les miroirs, par les jours abrégés des décembres
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - La ville est morte, morte, irréparablement
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - L'hostie est comme un clair de lune dans l'église
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Songeur, dans de beaux rêves t'absorbant
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Quand le soir est tombé dans la chambre quiète
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Quand on rentre chez soi, délivré de la rue
-
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'aquarium, toujours frissonnant, est étrange
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Seuls les rideaux, tandis que la chambre est obscure
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'angle obscur de la chambre, le piano
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - En des quartiers déserts de couvents et d'hospices
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ah ! Vous êtes mes soeurs, les âmes qui vivez
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - Toute une vie en nous, non visible, circule
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô ville, toi ma soeur à qui je suis pareil
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Le miroir est l'amour, l'âme-soeur de la chambre
-
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô neige, toi la douce endormeuse des bruits
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'eau des anciens canaux est débile et mentale
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les canaux somnolents entre les quais de pierre
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les dimanches : tant de tristesse et tant de cloches
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Mon âme, tout ce long et triste après-midi
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dimanche : un pâle ennui d'âme, un désoeuvrement
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les pièces d'eau, songeant dans les parcs taciturnes
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - On aura beau s'abstraire en de calmes maisons
-
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Si tristes les vieux quais bordés d'acacias
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans quelque ville morte, au bord de l'eau