193 résultats pour "1896"
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - C'est l'extase langoureuse
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - A la louange de Laure et de Pétrarque
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - Après trois ans
Premier commentaire (informé) 1) Un manifeste anti-romantique Thème du retour sur les lieux d'un bonheur (?), d'un amour (?). La nature n'a pas changé. On regarde les choses les unes après les autres, à la recherche de quoi? Que reste-t-il de l'amour? Rien, réponse probable, et le symbole en est alors la Velléda de plâtre, qui s'écaille au bout de l'avenue, figure peut-être de la vie, du chemin de la vie. Velléda, héroïne de Chateaubriand (les Martyrs), symbole de la passion, n'est plus qu'une d...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Sagesse d'un Louis Racine, je t'envie !
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - J'ai presque peur, en vérité
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Et j'ai revu l'enfant unique : il m'a semblé
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Parallèlement) - Nouvelles variations sur le Point du Jour
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste !
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Le paysage dans le cadre des portières
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Epigrammes) - Il ne me faut plus qu'un air de flûte
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Si tu le veux bien, divine Ignorante
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - N'est-ce pas ? en dépit des sots et des méchants
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ecoutez la chanson bien douce
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Bon chevalier masqué qui chevauche en silence
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Bonheur) - L'amour de la Patrie est le premier amour
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Va ton chemin sans plus t'inquiéter
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Odes en son honneur) - Laisse dire la calomnie
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Odes en son honneur) - Je ne suis pas jaloux de ton passé, chérie
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Vous êtes calme, vous voulez un voeu discret
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Il faut, voyez-vous, nous pardonner les choses
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Parallèlement) - Ces passions qu'eux seuls nomment encore amours
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ô mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Ecrit sur l'album de Mme N. de V.
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Va, chanson, à titre-d'aile
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Le foyer, la lueur étroite de la lampe
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - La dure épreuve va finir
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Ô triste, triste était mon âme
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Le piano que baise une main frêle
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Le bruit des cabarets, la fange du trottoir
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - En robe grise et verte avec des ruches
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Hier, on parlait de choses et d'autres
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - L'espoir luit comme un brin de paille dans l'étable
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - L'hiver a cessé : la lumière est tiède
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Je ne veux plus aimer que ma mère Marie
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Toute grâce et toutes nuances
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Tournez, tournez, bons chevaux de bois
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Voix de l'Orgueil : un cri puissant comme d'un cor
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Le soleil du matin doucement chauffe et dore
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Puisque l'aube grandit, puisque voici l'aurore
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Boylesve et Estaunié
RENÉ BOYLESVE (1867-1926 René Tardiveau, dit René Boylesve, est né à La Haye-Descartes, en Touraine. Son premier roman, Le Médecin des dames de Néans (1896), décrit l'éveil à l'amour et à la joie de vivre chez une jeune femme de notaire dans une morne petite ville d'Anjou. Par la suite, Boylesve se complaît quelque temps dans le libertinage gracieux avec Les Bains de Bade (1896) et surtout La Leçon d'amour dans un parc (1902), dont l'intrigue se déroule sur les bords de la Loire, puis il écrit a...
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La Reine morte (1942) HENRY DE MONTHERLANT (1896-1972)
DRAME La Reine morte (1942) HENRY DE MO N T HERLANT (1896-1972) L'auteur Henry de Montherlant est né à Paris d'une famille aristocrate. Il manifeste une vocation littéraire précoce, cultive les valeurs héroïques et se montre attiré par le sport et la tauromachie. Après la première guerre mondiale, il voyage au Sud de l'Europe et en Afrique du Nord. Entre 1936 et 1939, il publie le cycle romanesque des Jeunes Filles dont le héros Costals, cynique et mysogine, méprise les femmes ....