441 résultats pour "1855"
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Quand on rentre chez soi, délivré de la rue
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'aquarium, toujours frissonnant, est étrange
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Seuls les rideaux, tandis que la chambre est obscure
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'angle obscur de la chambre, le piano
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - En des quartiers déserts de couvents et d'hospices
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ah ! Vous êtes mes soeurs, les âmes qui vivez
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Mets ta chaise près de la mienne
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - Toute une vie en nous, non visible, circule
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - La glycine est fanée et morte est l'aubépine
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Si d'autres fleurs décorent la maison
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Dans la maison où notre amour a voulu naître
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : La multiple splendeur) - Plus loin que les gares, le soir
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô ville, toi ma soeur à qui je suis pareil
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les vignes de ma muraille) - Les saints, les morts, les arbres et le vent
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Et te donner ne suffit plus, tu te prodigues
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Le clair jardin c'est la santé
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Ardeur des sens, ardeur des coeurs...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Le miroir est l'amour, l'âme-soeur de la chambre
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - L'ombre est lustrale et l'aurore irisée
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Roses de juin, vous les plus belles
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô neige, toi la douce endormeuse des bruits
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'eau des anciens canaux est débile et mentale
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Les jours de fraîche et tranquillé santé
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Les fleurs du clair accueil au long de la muraille
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - J'ai cru à tout jamais notre joie engourdie
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Les baisers morts des défuntes années
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les canaux somnolents entre les quais de pierre
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - L'âge est venu, pas à pas, jour à jour
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les dimanches : tant de tristesse et tant de cloches
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Mon âme, tout ce long et triste après-midi
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dimanche : un pâle ennui d'âme, un désoeuvrement
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les pièces d'eau, songeant dans les parcs taciturnes
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - On aura beau s'abstraire en de calmes maisons
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Si tristes les vieux quais bordés d'acacias
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans quelque ville morte, au bord de l'eau
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Ô le calme jardin d'été où rien ne bouge
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures du soir) - Lorsque s'épand sur notre seuil la neige fine
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - L'aube, l'ombre, le soir, l'espace et les étoiles
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - C'est la bonne heure où la lampe s'allume
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Voici quinze ans déjà que nous pensons d'accord
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Tel soir fané, telle heure éphémère suscite