450 résultats pour "1855+1916"
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : La forêt bleue) - Jardin d'hiver
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Vieux quais
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : L'ombre ardente) - Clair de Lune
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Poésies de jeunesse) - Prière de Socrate
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Béguinage flamand
- Xavier Labensky, dit Jean POLONIUS (1790-1855) - L'exil d'Apollon
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - Les glaces sont les mélancoliques gardiennes
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le miroir du ciel natal) - La lampe dans la chambre ...
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Il flotte une musique éteinte...
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : L'ombre ardente) - Le jeune homme et la mort
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : L'ombre ardente) - Devant un Frantz Halls
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans le silence et dans le soir de la maison
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'air fraîchi, venant d'où...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Des cloches, j'en ai su qui cheminaient sans bruit
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Poésies diverses) - Chanson de Han d'Islande
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'aquarium est si bleuâtre, si lunaire
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'étang d'un grand coeur...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - L'obscurité, dans les chambres, le soir...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les miroirs, par les jours abrégés des décembres
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Poésies de jeunesse) - Prologue des "Élégies nationales"
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - La ville est morte, morte, irréparablement
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - L'hostie est comme un clair de lune dans l'église
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Songeur, dans de beaux rêves t'absorbant
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Quand le soir est tombé dans la chambre quiète
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Quand on rentre chez soi, délivré de la rue
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'aquarium, toujours frissonnant, est étrange
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Seuls les rideaux, tandis que la chambre est obscure
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'angle obscur de la chambre, le piano
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - En des quartiers déserts de couvents et d'hospices
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ah ! Vous êtes mes soeurs, les âmes qui vivez
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - Toute une vie en nous, non visible, circule
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô ville, toi ma soeur à qui je suis pareil
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Le miroir est l'amour, l'âme-soeur de la chambre
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô neige, toi la douce endormeuse des bruits
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Les vies encloses) - L'eau des anciens canaux est débile et mentale
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les canaux somnolents entre les quais de pierre
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les dimanches : tant de tristesse et tant de cloches
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Mon âme, tout ce long et triste après-midi
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dimanche : un pâle ennui d'âme, un désoeuvrement
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les pièces d'eau, songeant dans les parcs taciturnes
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - On aura beau s'abstraire en de calmes maisons
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Si tristes les vieux quais bordés d'acacias
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans quelque ville morte, au bord de l'eau
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Mounet-Sully (1841-1916)
Mounet-Sully (1841-1916) Le «Delacroix du théâtre». On a beaucoup loué l'acteur Mounet-Sully. Peladan rappelle le «Delacroix du théâtre», ajoutant que la langue française n'a pareillement resplendi sur d'autres lèvres, Barbey d'Aurevilly le compare à Talma; en effet, depuis Talma, jamais un tragédien n'a connu un tel succès ni déchaîné un tel enthousiasme. La vocation de Jean Sully a été tardive. Né à Bergerac en 1841, il se destine tout d'abord à l'austère carrière de pasteur protestant et pour...
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Tel soir fané, telle heure éphémère suscite
- Lettre de Apollinaire à André Breton 14 février 1916 En réalité je n'ai lu avec soin que des livres spéciaux sur tous les sujets, des catalogues, des livres de linguistiques, les contes de Perrault, des voyages et des poètes par fragments ou entièrement Villon, Racine, La fontaine et beaucoup d'auteurs célèbres... et en 1901 j'ai lu pas mal de romans de chevaleries. Cette lettre éclaire-t-elle notre lecture d'Alcools ?
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Le mouvement <<Dada>> et le «Surréalisme» (1916-1940)
Le mouvement et le (1916-1940) 1918 1919 TZARA, Manifeste Dada. Les Champs magnéti BRETON-SOUPAULT, ques (écriture automatique). BRETON, Manifeste du Surréalisme; Poisson soluble (rée.). 1925 ARTAUD, L'Ombilic des limbes. 1926 ARAGON, Le Paysan de Paris (r.). ÉLUARD, Capitale de la douleur (p.). 1928 BRETON, Nadja. PÉRET, Le grand Jeu (p.). BATAILLE, Histoire de l'œil (rée.). 1924 De la première guerre mondiale naît un refus devant l'ancien monde, l'idéolo...
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THEATRE & CINEMA: Mounet-Sully (1841-1916)
Mounet-Sully (1841-1916) Le «Delacroix du théâtre». On a beaucoup loué l'acteur Mounet-Sully. Peladan l'appelle le «Delacroix du théâtre», ajoutant que la langue française n'a pareillement resplendi sur d'autres lèvres. Barbey d'Aurevilly le compare à Talma; en effet, depuis Tal-ma, jamais un tragédien n'a connu un tel succès ni déchaîné un tel enthousiasme. La vocation de Jean Sully a été tardive. Né à Bergerac en 1841, il se destine tout d'abord à l'austère carrière de pasteur protestant et po...
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André Malraux
André Malraux Quand André Malraux naît à Paris, la France s'essuie de l'Affaire Dreyfus et entre allégrement dans cette "belle époque" qu'interrompra seulement le coup de revolver de Sarajevo. Mais si belle soit-elle, une belle époque n'est pas belle pour tout le monde. La jeunesse d'André Malraux, marquée par des deuils tragiques, n'a guère subi le charme de la frivolité de son temps. C'est dans l'ébrouement de l'adolescence que l'enfant annonce l'homme qu'il sera : encore faut-il que le clima...
- Emile Verhaeren - Le Moulin