66 résultats pour "1762"
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Toujours ce souvenir m'attendrit et me touche
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Oh ! puisse le ciseau qui doit trancher mes jours
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Ah ! je les reconnais, et mon coeur se réveille
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - J'étais un faible enfant qu'elle était grande et belle
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Les esclaves d'Amour ont tant versé de pleurs
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Ah ! portons dans les bois ma triste inquiétude
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Fille du vieux pasteur, qui d'une main agile
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Jeune fille, ton coeur avec nous veut se taire
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- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Ô délices d'amour ! et toi, molle paresse
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - L'art, des transports de l'âme est un faible interprète
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Souvent le malheureux songe à quitter la vie
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Dernières poésies) - Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Ô Muses, accourez ; solitaires divines
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Poésies Antiques) - Ah ! prends un coeur humain, laboureur trop avide
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Ô jours de mon printemps, jours couronnés de rose
- Dans son traité d'éducation, Émile, publié en 1762, Rousseau déclare à propos de l'utilisation, fréquente à l'époque, des Fables pour l'éducation morale des jeunes enfants : Composons M. de La Fontaine. Je promets quant à moi de vous lire, de vous aimer, de m'instruire dans vos fables, mais pour mon élève, permettez que je ne lui en laisse pas étudier une seule. Dans quelle mesure votre lecture personnelle du 2e recueil des Fables vous permet-elle de comprendre et de partager les réti