100 résultats pour "1555"
- François de MALHERBE (1555-1628) - Pour les pairs de France, assaillants au combat de barrière
- Jacques DAVY DU PERRON (1555-1618) - Quand l'infidèle usait envers moi de ses charmes
- Charles Gaucher de SAINTE-MARTHE (1512-1555) - Il fut un bruit, ô Marot, qu'étais mort
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Qu'inférez-vous, menteurs, par vos beaux arguments
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Puisse advenir que ma fiere Maistresse
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Je chante et pleure, et veux faire et défaire
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Le baiser en l'Amour est l'octave en Musique
- Jacques DAVY DU PERRON (1555-1618) - Au bord tristement doux des eaux, je me retire
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- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Ce n'est pas le trépas, c'est un très doux sommeil
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Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Je m'embarque joyeux, et ma voile pompeuse
Abraham de Vermeil Je m’embarque joyeux et ma voile pompeuse M’ôte déjà la terre et me donne les mers, Je ne vois que le Ciel uni aux sillons pers ; C’est le premier état de mon âme amoureuse. Puis je vois s’élever une vapeur confuse, Ombrageant tout le Ciel qui se fend en éclairs ; Le tonnerre grondant s’anime par les airs, C’est le second état dont elle est langoureuse. Le troisième est le flot hideusement frisé, Le mât rompu des vents et le timon brisé, Le navire enfondrant la perte de coura...
- Jacques DAVY DU PERRON (1555-1618) - Enfin ce traître Amour qui semblait désarmé
- François de MALHERBE (1555-1628) - Aux dames pour les demi-dieux marins, conduits par Neptune
- Jacques DAVY DU PERRON (1555-1618) - Puisqu'il faut désormais que j'éteigne ma flamme
- Jacques TAHUREAU (1527-1555) - Contre quelques-uns qui le blamaient de suivre la poésie
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Ô Dieu qui vois ceste rouë execrable
- François de MALHERBE (1555-1628) - Pour le premier ballet de monseigneur le Dauphin. Au roi Henri le grand
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- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Puisque tu veux dompter les siècles tout-perdants
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Que ne suis-je échangé en précieuse pluie
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Mais quelle aveugle loi tellement te maîtrise
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Pourquoi négliges-tu l'extrême affection
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Diverses poésies) - Sonnet des gestes des Dames
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Ores que je suis mort, je vai, je viens, je vire
- Jean de BOYSSIERES (1555-1584) (Recueil : Les premières oeuvres poétiques) - Ceste nuict ne nous est point nuict
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Ton voile noir te fait approuver feinte
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- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Quand viendra l'heureux temps que je sacrifiré
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Si les pleurs douloureux, si les tristes complaintes
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Quoi ! qu'est-ce que ceci ? ma mignonne, es-tu folle ?
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Un jour le Ciel était superbement ému
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Je voudrais bien, pour m'ôter de misère
- Jean de BOYSSIERES (1555-1584) (Recueil : Les secondes oeuvres poétiques) - Les planettes ; les cieux, les astres, les estoilles
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Si l'amour ne paraît à mes désirs constant
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Diverses poésies) - Cousinons la cousine, elle est cointe et jolie
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- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Un jour mon beau soleil miroit sa tresse blonde
- François de MALHERBE (1555-1628) - Ballet de madame, de petites nymphes qui mènent l'amour prisonnier. Au roi
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Je l'oeilladais mi-nue, échevelée
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - J'aime tant ce parler bégayement mignard
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - M'amour, tu as trahi ma jeunesse peu caute
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Comme un corps féminin que la mère Nature
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Afin qu'amour-oiseau ne soit plus si volage
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Ha Dieu ! que j'ai de bien alors que je baisotte
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- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Qu'en dites-vous, mon Coeur ? Je vous prie de le dire
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - N'oser aimer celui, doué de bonne grâce
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Ô belle Noémie, approche, embrasse-moi
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Je penserai plutôt la mer non variable
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Sur ses ailes, Amour, d'un vol plein de vitesse
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Diverses poésies) - J'aime bien le savoir, bien que je n'aime à lire
- Abraham de VERMEIL (1555-1620) (Recueil : Poésies) - Voz yeux plus prompts qu'esclairs, plus subtils que la foudr
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Ton poil, ton oeil, ta main, crêpé, astré, polie
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- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - La honte à l'oeil baissé ne me fera point taire
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François de Malherbe (1555-1628), poète de Cour, aurait dit un jour: "Un bon poète n'est pas plus utile à l'État qu'un bon joueur de quilles". Qu'en pensez-vous?
Sujet: François de Malherbe (1555-1628), poète de Cour, aurait dit un jour: "Un bon poète n'est pas plus utile à l'État qu'un bon joueur de quilles". Qu'en pensez-vous? Introduction Si l'on en croit Malherbe, le poète (et par extension son art) n'est pas d'un grand secours pour le monde dans lequel il évolue. Il représente uniquement un « bon ouvrier du vers », non pas un mage ou un prophète, d'où sa fameuse réplique : « Un bon poète n'est pas plus utile à l'État qu'un bon joueur de quilles ». D...