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Étudiez cette définition du romantisme que Musset met ironiquement dans la bouche d'un clerc d'avoué : « Le romantisme, mon cher monsieur, mais à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités, ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. Vous saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne, la fleur qui vole et l'oiseau qui embaume ; c'est le jet inespéré, l'extase alanguie, la citerne sous les palmiers et l'espoir vermeil et ses mille amours, l'ange et la perle, la robe blanche des saules; ô la belle chose, monsieur! c'est l'infini et l'étoile, le chaud, le rompu, le désenivré, et pourtant en même temps le plein et le rond, le diamétral, le pyramidal, l'oriental, le nu à vif, l'étreint, l'embrassé, le tourbillonnant; quelle science nouvelle! » (Lettres de Dupuis et Cotonet, première lettre, 1836.) ?
[Introduction] Le drame romantique s'inscrit dans la rupture que les jeunes écrivains romantiques veulent marquer avec l'esthétique du classicisme. Dans cette mesure, on comprend que Musset s'insurge contre une tentative de définition réductrice d'un élan naissant : « Non [...], ce n'est ni le mépris des unités ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. » Mais, lui, le poète, peut tenter de dire l'indicible en multipliant les images, les antithèses, en évoq...
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Edmond DE GONCOURT écrit, dans la préface des Frères Zemganno (1879) : Le réalisme, pour user du mot bête, du mot-drapeau, n'a pas l'unique mission de décrire ce qui est bas, ce qui est répugnant, ce qui pue. Il est venu au monde aussi, lui, pour définir dans de « l'écriture artiste » ce qui est élevé, ce qui est joli, ce qui sent bon, et encore pour donner les aspects et les profils des êtres raffinés et des choses riches : mais cela en vue d'une étude appliquée, rigoureuse et non conventionnelle et non imaginative, de la beauté, une étude pareille à celle que la nouvelle école vient de faire en ces dernières années de la laideur... Le succès du réalisme est là, seulement là, et non plus dans la canaille littéraire. Vous commenterez et discuterez, le plus largement possible, cette définition du réalisme dans le roman.
Edmond DE GONCOURT écrit, dans la préface des Frères Zemganno (1879) : Le réalisme, pour user du mot bête, du mot-drapeau, n\'a pas l\'unique mission de décrire ce qui est bas, ce qui est répugnant, ce qui pue. Il est venu au monde aussi, lui, pour définir dans de « l\'écriture artiste » ce qui est élevé, ce qui est joli, ce qui sent bon, et encore pour donner les aspects et les profils des êtres raffinés et des choses riches : mais cela en vue d\'une étude appliquée, rigoureuse et non conventio...
- Charles d' ORLEANS (1394-1465) (Recueil : Rondeaux) - Qui ? quoy ? comment ? a qui ? pourquoy ?
- Commentez et discutez ces lignes de Baudelaire : « L'art est-il utile? Oui. Pourquoi ? Parce qu'il est l'art. Y a-t-il un art pernicieux? Oui. C'est celui qui dérange les conditions de la vie. Le vice est séduisant, il faut le peindre séduisant; mais il traîne avec lui des maladies et des douleurs morales singulières. Il faut les décrire. Etudiez toutes les plaies comme un médecin qui fait, son service dans un hôpital, et l'école du bon sens, l'école exclusivement morale, ne trouvera plus où mordre. Le crime est-il toujours châtié, la vertu gratifiée? Non; mais cependant si votre roman, si votre drame est bien fait, il ne prendra envie à personne de violer les lois de la nature. La première condition nécessaire pour un art sain est la croyance à l'unité intégrale. Je défie qu'on me trouve un seul ouvrage d'imagination qui réunisse toutes les conditions du beau et qui soit un ouvrage pernicieux. » (L'Art romantique, « Les drames et les romans honnêtes ».) ?
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Vergers) - Eau qui se presse, qui court
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Jean de SPONDE (1557-1595) - Qui sont, qui sont ceux-là, dont le coeur idolâtre
Jean de SPO N DE ( 1557-1595) « Qui s ont, qui s ont c eux-là, dont le c œur idolâtre… » « Qui s ont, qui s ont c eux-là, dont le c œur idolâtre Se jette aux pieds du M onde, et flatte s e s honneurs Et qui s ont c e s valets , et qui s ont c e s Seigneurs , Et c e s â m e s d'Ebène, et c e s fac e s d'Albâtre ? C e s m a s q u e s d é g u i s é s , dont la troupe folâtre S ' a m u s e à c ares s er je ne s a i s q u e l s donneurs De fumées de Cour, et c e s entrepreneurs De vainc re enc or...
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Pascal a beaucoup utilisé les Essais de Montaigne, qui, cependant, lui était antipathiques par certains côtés. Vous comparerez les deux écrivains et vous direz ce qui plaisait à l'auteur des Pensées et ce qui le choquait dans l'ouvrage de Montaigne ?
Pascal avait beaucoup fréquenté Montaigne : on retrouve des réminiscences et des citations des Essais à chaque page des Pensées. Et cependant il était agacé par sa manie de toujours parler de lui : Le sot projet qu'il a eu de se peindre ! Mais il voyait avec joie dans cet auteur la raison si invinciblement froissée par ses propres armes et il n'était pas loin d'aimer le ministre d'une si grande vengeance. Il nous a dit, d'ailleurs, ce qu'il pensait de Montaigne dans l'entretien avec M. de Saci....
- Pourquoi écrivez-vous ? Demande-t-on souvent à l'écrivain. Vous devriez le savoir, pourrait répondre l'écrivain à ceux qui posent la question. Vous devriez le savoir puisque vous nous lisez, car si vous nous lisez et si vous continuez de nous lire, c'est que vous avez trouvé de qui lire, quelque chose comme une nourriture, quelque chose qui répond à votre besoin... Si je suis écrivain, pourquoi êtes-vous mon lecteur ? C'est en vous-même que vous trouvez la réponse à la question que vous me posez. Comment comprenez-vous cette repartie surprenante d'Eugène Ionesco ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les châtiments) - Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent
- Dans Nouvel art de penser, J. Guitton donne ces conseils : « Ne lis jamais une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand tireur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer ». Commentez et discutez ?
- Dans Nouvel Art de Penser (1954) Jean Guitton donne ces conseils : Ne lis pas une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand trieur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer. Commentez et discutez.
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Pour qui tant de travaux ? pour vous? de qui l'aleine
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Dans la préface de son recueil de poèmes Les Contemplations (1856), Victor Hugo répond à ceux qui se plaignent des écrivains qui disent moi : « Ah ! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi ! ?
LE ROMANTISME Hugo écrit dans une de ses préfaces : « Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas P Ah ! insensé qui 1t:rois que je ne suis pas toi. » En appliquant ce jugement à l'ensemble de nos poètes roman~ tiques, vous montrerez que les sentiments qu'ils expriment, les grands problèmes qu'il évoquent, ont une portée largement humaine. (Rennes) LES GRANDES LIGNES DU PLAN Comme il arrive souvent, la citation n'est qu'un point de départ. Les indications pr...
- Maurice DU PLESSYS (1864-1924) (Recueil : Les tristes) - La nuit qui tombe et le train qui passe
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - L'Homme qui court après la Fortune et l'Homme qui l'attend
- Dans la préface d'Électre ou la chute des masque qui date de 1954, Marguerite Yourcenar note que dans les Électres du XXe siècle, « le Poète rejette la solution antique qui était la justice [...] Les termes psychologiques, les formules littéraires ne font qu'étiqueter ou que décrire différemment ce même fait brut qui est la haine. » Cette substitution de la haine à la justice vous parait-elle justifiée dans Les Mouches de Sartre ?
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« Il y a deux sortes de romans : le roman qui nous fait oublier la vie, et le roman qui nous explique la vie. » qu'en pensez-vous ?
Analyse du sujet et problématisation : Cette phrase établit une bipartition au sein du genre romanesque faisant état de deux catégories exclusives : les romans qui font oublier la vie et ceux qui l'expliquent. Les romans « qui font oublier la vie » sont les romans permettant l'évasion du lecteur hors de sa réalité quotidienne, romans fondés souvent sur une imagination débordante de l'auteur. Ces romans où règne l'imagination peuvent être qualifiés de romans à tendance fantastique ou merveilleuse...
- Vous êtes chargé(e) par votre professeur de français de constituer une anthologie qui rassemblera les poèmes que vous préférez. En préface à ce recueil, dans lequel figureront entre autres les poèmes du corpus, vous écrivez un texte qui présente vos choix et ce qui les a guidés. Vous aurez en particulier pour objectif de faire partager à vos camarades de classe votre conviction que lire, ou éventuellement écrire, des poèmes peut apporter des remèdes aux maux de la vie ?
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« Il y a deux sortes de romans : le roman qui nous fait oublier la vie, et le roman qui nous explique la vie. » Qu'en pensez-vous ?
Analyse du sujet et problématisation : Cette phrase établit une bipartition au sein du genre romanesque faisant état de deux catégories exclusives : les romans qui font oublier la vie et ceux qui l'expliquent. Les romans « qui font oublier la vie » sont les romans permettant l'évasion du lecteur hors de sa réalité quotidienne, romans fondés souvent sur une imagination débordante de l'auteur. Ces romans où règne l'imagination peuvent être qualifiés de romans à tendance fantastique ou merveilleuse...
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Où les historiens s'arrêtent, ne sachant plus rien, les poètes apparaissent et devinent. Ils voient encore, quand les historiens ne voient plus. c'est l'imagination des poètes qui perce l'épaisseur de la tapisserie historique ou qui la retourne pour regarder ce qui est derrière Barbey d'Aurévilly, Une histoire sans nom. Partagez-vous l'avis de Barbey d'Aurévilly selon lequel les écrivains comprennent et représentent mieux l'histoire que les historiens ?
« Où les historiens s'arrêtent, ne sachant plus rien, les poètes apparaissent et devinent. Ils voient encore, quand les historiens ne voient plus. C'est l'imagination des poètes qui perce l'épaisseur de la tapisserie historique ou qui la retourne pour regarder ce qui est derrière. » Barbey d'Aurévilly, Une histoire sans nom. Partagez-vous l'avis de Barbey d'Aurévilly selon lequel les écrivains comprennent et représentent mieux l'histoire que les historiens ? Analyse du sujet et problématisation...
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« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. Camus, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux? Vous avez lu des textes qui prouvent le contraire. Parmi les écrivains que vous connaissez, quels sont ceux qui, à votre avis, ont le mieux accompli la mission fixée par Camus ? Et pourquoi ?
« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. Camus, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux? Vous avez lu des textes qui prouvent le contr...
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« Nous autres, écrivains du xxe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. CAMUS, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux ? Vous avez lu des textes qui prouvent le contraire. Parmi les écrivains que vous connaissez, quels sont ceux qui, à votre avis, ont le mieux accompli la mission fixée par Camus ? Et pourquoi ?
« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. CAMUS, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux ? Vous avez lu des textes qui prouvent le cont...
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La « lassitude » de l'homme qui pense, de l'homme qui pense... encore !
Introduction Mettant fin au programme spatial américain, trois astronautes ont tourné autour de la terre pendant quatre-vingtdix jours. Une fois en orbite, ils n'ont plus intéressé personne, en dehors des responsables, et leur retour n'a pas « fait recette » à la télévision ! Cet exemple suffit à mettre en lumière l'état d'esprit de l'homme moderne qui, s'il réfléchit encore, est envahi d'une telle lassitude d'esprit que plus rien ne l'étonné. Quelles sont les causes et les remèdes à cet état d'...
- Commentez cette page d'Albert Camus: « L'art formel et l'art réaliste sont des notions absurdes. Aucun art ne peut refuser absolument le réel. La Gorgone est sans doute une créature purement imaginaire; son mufle et les serpents qui la couronnent sont dans la nature. Le formalisme peut parvenir à se vider de plus en plus de contenu réel, mais une limite l'attend toujours. Même la géométrie pure où aboutit parfois la peinture abstraite demande encore au monde extérieur sa couleur et ses rapports de perspective. Le vrai formalisme est silence. De même, le réalisme ne peut se passer d'un minimum d'interprétation et d'arbitraire. La meilleure des photographies trahit déjà le réel, elle naît d'un choix et donne une limite à ce qui n'en a pas. L'artiste réaliste et l'artiste formel cherchent l'unité où elle n'est pas, dans le réel à l'état brut, ou dans la création imaginaire qui croit expulser toute réalité. Au contraire, l'unité en art surgit au terme de la transformation que l'artiste impose au réel. Elle ne peut se passer ni de l'une ni de l'autre. Cette correction, que l'artiste opère par son langage et par une redistribution d'éléments puisés dans le réel, s'appelle le style et donne à l'univers recréé son unité et ses limites. » (L'Homme révolté, pp. 332-333.) ?
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Dans ses Réflexions sur le roman, publiées en 1938, le critique Albert Thibaudet distingue les «lecteurs» qui « ne demandent au roman qu'une distraction, un rafraîchissement, un repos de la vie courante» et les «liseurs» pour qui le roman existe « non comme un divertissement accidentel, mais comme une fin essentielle». En vous fondant sur votre expérience personnelle et en vous aidant d'exemples précis, vous direz ce que vous pensez d'une telle distinction.
Dans ses Réflexions sur le roman, publiées en 1938, le critique Albert Thibaudet distingue les «lecteurs» qui « ne demandent au roman qu\'une distraction, un rafraîchissement, un repos de la vie courante» et les «liseurs» pour qui le roman existe « non comme un divertissement accidentel, mais comme une fin essentielle». En vous fondant sur votre expérience personnelle et en vous aidant d\'exemples précis, vous direz ce que vous pensez d\'une telle distinction. Introduction Quand nous ouvrons un...
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l'histoire est du roman qui a été. Le roman est de l'histoire qui aurait pu être (Edmond de Goncourt). qu'en pensez-vous ?
« L'histoire est du roman qui a été. Le roman est de l'histoire qui aurait pu être. » EDMOND DE GONCOURT. On sait l'influence du romantisme sur la renaissance de l'histoire au XIXe siècle {Les Martyrs, Waller Scott). Thierry voulut rivaliser avec le roman et la poésie, de vie, de couleur, de pittoresque. Michelet de même. Nous ne nous étonnerons donc pas d'entendre Edmond de Goncourt confondre presque les genres.... Il y a dans ces paroles toute une conception de l'histoire, du roman aussi, d'ai...
- Pensez-vous que le poète soit un être qui ment, mais qui dit « pourtant plus juste avec son mensonge » ?
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ceux qui sont amoureux, leurs amours chanteront
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Vergers) - Tel cheval qui boit à la fontaine
- Victor HUGO, L'Homme qui rit (1869)
- Victor HUGO (1802-1885) - A qui donc sommes-nous ?
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Qui dira ma robe fourrée
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Si quelqu'un veut savoir qui me lie et enflamme
- Qu'est-ce qui fait selon vous qu'un personnage de théâtre se démode ? Qu'est-ce qui au contraire, lui assure sa longévité ? Appuyez-vous sur des exemples lors de votre réflexion.
- Victor Hugo: extrait de L'homme qui rit
- Goethe affirme en 1829 dans sa Conversation avec Eckermann : « J'appelle classique ce qui est beau, romantique ce qui est malade ». Dans quelle mesure, cette affirmation peut-elle s'appliquer aux oeuvres étudiées ?
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - Je ne suis plus celui qui sous l'ombre plaisante
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Or Août qui apporte
- Simon GOULART (1543-1628) (Recueil : Suite des Imitations chrestiennes) - Ô mal non mal qui doucement m'oppresses !
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Pourquoi écrire et pour qui ?
Pourquoi écrire et pour qui ? I. Pour exprimer son moi et la condition humaine. Montaigne : « Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre » mais « chaque homme porte la forme de l'humaine condition. » (Essais). Lamartine : « Ce n'était pas un art, c'était le soulagement de mon coeur. » (A propos des Méditations). Chateaubriand : « On ne peint bien que son propre coeur en l'attribuant à un autre, et la meilleure partie du génie se compose de souvenirs. » F. Mauriac : « Écrire, c'est...
- Jean Ogier de GOMBAULD (1588-1666) (Recueil : Sonnets chrétiens) - La voix qui retentit de l'un à l'autre Pole
- « La pensée complexe est non pas ce qui évite ou supprime le défi, mais ce qui aide à le relever ». Dans un développement structuré, vous exposerez les réflexions et commentaires que vous inspire cette affirmation ?
- Jean MESCHINOT (1420-1491) - Rondeau de ceux qui se taisent
- Jean GODARD (1564-1630) - Qui contera le sable de la mer
- Tout ce qui est dans la nature est dans l'art dit Victor Hugo dans Cromwell, et plus loi, Le domaine de l'art et celui de la nature sont parfaitement distincts. Comment concilier ces deux affirmations qui semblent contradictoires ?
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Puis rue qui s'en va ...
- La pièce de Molière Tartuffe a pour titre le nom du personnage qui est au coeur de l'oeuvre et qui apparaît comme le personnage principal. Toutefois cette dernière affirmation semble discutable à la lecture de la pièce dans son ensemble ?
- Ne s'abuse-t-on pas sur La Fontaine quand on nous le présente comme un rêveur et un paresseux ? Ses fables ne révèlent-elles pas un homme qui sait observer la réalité et un poète qui a le souci de son art ?
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Vous de qui l'oeil est mon vainqueur