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présent.
Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Les Odes) - Verson ces roses pres ce vin
Verson ces roses pres ce vin,
De ce vin verson ces roses,
Et boyvon l'un à l'autre, afin
Qu'au coeur noz tristesses encloses
Prennent en boyvant quelque fin.
La belle Rose du Printemps
Aubert, admoneste les hommes
Passer joyeusement le temps,
Et pendant que jeunes nous
Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Sonnets pour Hélène) - Vous me distes, Maitresse, estant à la fenestre
Vous me distes, Maitresse, estant à la fenestre,
Regardant vers Mont-martre et les champs d'alentour :
La solitaire vie, et le desert sejour
Valent mieux que la Cour, je voudrois bien y estre.
A l'heure mon esprit de mes sens seroit maistre,
En
Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Vu que tu es plus blanche
Chanson
Vu que tu es plus blanche que le lis,
Qui t'a rougi ta lèvre vermeillette
D'un si beau teint ? Qui est-ce qui t'a mis
Sur ton beau sein cette couleur rougette ?
Qui t'a noirci les arcs de tes
Mellin de SAINT-GELAIS (1487-1558) - A Pierre de Ronsard
Entrant le peuple en tes sacrez bocaiges,
Dont les sommez montent jusques aux nues
Par l'espesseur des plantes incognues,
Trouvoit la nuict en lieu de frez umbraiges.
Or te suivant le long des beaux rivaiges
Où les neuf seurs à ton chant sont venues,
Herbes, et
Charles SAINTE-BEUVE (1804-1869) (Recueil : Vie, poésies et pensées de Joseph Delorme) - A Ronsard
pour un ami qui publiait une édition de ce poète
A toi, Ronsard, à toi, qu'un sort injurieux
Depuis deux siècles livre aux mépris de l'histoire,
J'élève de mes mains l'autel expiatoire
Qui te purifiera d'un arrêt odieux.
Non que
René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - A Ronsard
Ô maître des charmeurs de l'oreille, ô Ronsard,
J'admire tes vieux vers, et comment ton génie
Aux lois d'un juste sens et d'une ample harmonie
Sait dans le jeu des mots asservir le hasard.
Mais, plus que ton beau verbe et plus que ton grand art,
J'aime ta passion
Jacques TAHUREAU (1527-1555) - Contre quelques-uns qui le blamaient de suivre la poésie
D'où vient cela que l'envieuse rage,
Qui les coeurs ronge, entreprend de blâmer
Mes ans oisifs, et les vers un ouvrage
D'un pauvre esprit et paresseux nommer,
En m'accusant que je ne suis la trace,
Étant dispos, de mes nobles aïeux,
Qui ont conquis par la
Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - A la louange de Laure et de Pétrarque
Chose italienne où Shakspeare a passé
Mais que Ronsard fit superbement française,
Fine basilique au large diocèse,
Saint-Pierre-des-Vers, immense et condensé,
Elle, ta marraine, et Lui qui t'a pensé,
Dogme entier toujours debout sous l'exégèse
Même edmondschéresque ou francisquesarceyse,
Sonnet, force acquise et trésor
Expliquer le sonnet qu'en 1828 Sainte-Beuve consacrait à Ronsard, en publiant un recueil de ses Oeuvres choisies. A toi, Ronsard, à toi, qu'un sort injurieux Depuis deux siècles, livre aux mépris de l'histoire, J'élève de mes mains l'autel expiatoire Qui te purifiera d'un arrêt odieux. Non que j'espère encore, au trône radieux D'où jadis tu régnais, replacer ta mémoire; Tu ne peux de si bas remonter à la
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