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Philippe-Auguste-Mathieu VILLIERS DE L'ISLE-ADAM (1838-1889) - Zaïra
" Ô perle du désert ! dis-moi :
Si le giaour infidèle
Ne s'en revenait plus vers toi ?
- Je te comprends bien, lui dit-elle :
" Mais je m'appelle Zaïra.
Va, mon coeur l'aimerait quand même :
Je suis de la tribu d'Azra ;
Chez nous on meurt lorsque l'on aime ! "...
Vincent VOITURE (1597-1648) - Ce soir que vous ayant seulette rencontrée
Ce soir que vous ayant seulette rencontrée,
Pour guérir mon esprit et le remettre en paix
J'eus de vous, sans effort, belle et divine Astrée,
La première faveur que j'en reçus jamais.
Que d'attraits, que d'appas vous rendaient adorable !
Que de traits, que de feux me vinrent enflammer !
Je ne verrai jamais...
Voltaire, Lettre d'un Turc sur les fakirs et sur son ami Babarec Lorsque j'étais dans la ville de Bénarès sur le rivage du Gange, ancienne patrie des brachmanes, je tâchai de m'instruire. J'entendais passablement l'indien; j'écoutais beaucoup et remarquais tout. J'étais logé chez mon correspondant Omri; c'était le plus digne homme que j'aie jamais connu. Il était de la religion des bramins, j'ai l'honneur d'être musulman: jamais nous n'avons eu une parole plus haute que...
Corneille, Cinna, acte 4, scène 2 Auguste Ciel ! à qui voulez-vous désormais que je fie Les secrets de mon âme et le soin de ma vie ? Reprenez le pouvoir que vous m'avez commis, Si donnant des sujets il ôte les amis, Si tel est le destin des grandeurs souveraines Que leurs plus grands bienfaits n'attirent que des haines, Et si votre rigueur les condamne à chérir Ceux que vous animez à les faire périr. Pour elles rien n'est sûr ; qui peut tout...
Jean Racine Bérénice Hé bien ! régnez, cruel ; contentez votre gloire. Je ne dispute plus. J'attendais, pour vous croire, Que cette même bouche, après mille serments D'un amour qui devait unir tous nos moments, Cette bouche, à mes yeux s'avouant infidèle, M'ordonnât elle-même une absence éternelle. Moi-même j'ai voulu vous entendre en ce lieu. Je n'écoute plus rien ; & pour jamais, adieu. Pour jamais ! Ah Seigneur, songez-vous en vous-même Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? Dans un mois, dans...
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