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le doute sceptique et le doute cartésien

Publié le 18/05/2023

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« Le doute sceptique et le doute cartésien « Le doute est le commencement de la sagesse » : c’est la fameuse citatiohttps://admin.devoir-de-philosophie.com/documents/image/ZmlsZS9wcmV2aWV3L3hpdDVkcDl1eTZ3YTJvYmFmN2lhcGdpcS8xLnBuZyEjfDQzISN8Zg==n d’Aristote, un philosophe très connu de la Grèce Antique qui nous affirme l’importance de la méthode du doute dans la quête d’une vérité.

En effet, le Doute est une notion définie depuis l’Antiquité : c’est tout sentiments d’incertitude et d’interrogation concernant l’existence ou la réalisation d’un fait.

Il a été traité par plusieurs philosophes tel que René Descartes qui s’est approfondi dans le développement de cette notion d’un point de vue nouveau. Cette méthode n’est qu’un outil d’exploitation des sujets.

Elle sert à accorder une signification à une notion abstraite afin d’atteindre une vérité relative ou absolue.

Parmi les sujets exploités à l’aide de la méthode du doute est « la conscience » alors Que signifie le moi ? et Comment peut-on le définir en l’associant avec le doute sceptique ou cartésien ? Nous présenterions dans un premier temps le Doute sceptique et ses degrés et dans un second temps le Doute cartésien tous les deux en rapport avec « la conscience ». La méthode du doute et à travers les siècles s’est élargie et s’est orientée vers multiples degrés.

Tous d’abord le doute sceptique qui à son tour comporte le modéré et le radical. Le doute sceptique radical consiste à douter aléatoirement dans le but de douter ce qui nous conduit directement à la noncroyance à toutes les notions du monde sensible.

En effet et après avoir douté de tous c’est-à-dire remettre en question toute affirmation qui prétend atteindre le vrai et ne rien trouver ces philosophes retirent leurs jugements : c’est la suspension et le début de la neutralité en ce moment là qu’une attitude sera adoptée ; l’attitude de l’indifférence.

Le sceptique devient alors sans opinions, sans inclinations et sans agitation pour résumer un sceptique radical ne croie en rien.

C’est pour cela qu’une réaction spontanée apparait pour changer la conception de ces philosophes qui tombent dans leur propre projet néfaste : c’est le doute sceptique modéré qui est un comportement purement scientifique et se base essentiellement sur l’hypothèse critiquable, réfutable et falsifiable.

Les philosophes sceptiques modérés alors refusent les choses apparentes et toute information ou théorie sans avoir été justifiées à partir de l’expérience et de l’observation.

Nietzsche est certes l’un des philosophes les plus influencés du scepticisme modéré puisqu’il annonce une thèse de la conscience et définie la pensée qui devient consciente comme étant la partie la plus superficielle et infime de la vie psychique puisque c’est la seule qui se traduit en paroles et que derrière cette conscience il y a toujours un sens caché ce qui représente selon lui « Notre nouvel infini » alors Nietzsche considère les interprétations données par « Freud » réfutables puisqu’il peuvent être interpréter par quelqu’un d’autre alors on n’arrive jamais à un fondement ultime ce qui résume le courant sceptique modéré qui consiste à douter pour s’approcher d’une vérité relative et accorder une définition provisoire aux notion et spécifiquement au « moi » .

Pour conclure le scepticisme modéré consiste à « ne rien admettre sans preuve et suspendre son jugement tant que la preuve fait défaut » ce qui est proche de la position de Descartes dans son discours de la méthode sauf que la différence et bien présente puisque René Descartes ne.... »

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