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Emily Dickinson

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Emily Dickinson grandit à Amherst, village du Massachusetts où elle naquit, vécut et mourut. En 1847, elle passa un an au séminaire de Mount Holyoke et, bien qu'elle cultivât une grande spiritualité, le doute sur la foi chrétienne l'habita toujours. Elle se lança dans la composition lyrique en 1850, inspirée par la poésie d'Emerson et d'Emily Brontë, rassemblant ses écrits dans des fascicules cousus main. En 1850, elle débuta également deux séries de correspondances : avec le Dr Holland et avec Samuel Bowles. Elle adressait de nombreux textes au Springfield Republican, mais bien que le journal s'intéressât à la littérature et publiât de temps à autre des poèmes, Dickinson ne parvint pas à enthousiasmer les éditeurs. Seulement cinq de ses poèmes parurent de son vivant, tandis qu'un homme de lettres, Thomas Higginson lui affirma que ses textes étaient impubliables. A l'issue de cette réponse, elle renonça définitivement à l'idée de se faire éditer, malgré les encouragements de sa famille Elle n'en continua pas moins d'écrire furieusement, produisant près de huit cents poèmes durant les années de la guerre de Sécession, en dépit de violents troubles de la vue. Dans les années 1860, elle s'enfonça dans sa réclusion volontaire et la légende naquit autour de cette frêle silhouette vêtue de blanc qui ne s'aventurait jamais au-delà des murs de la propriété familiale. Sa sœur Lavinia veillait jalousement sur sa solitude ; après la mort d'Emily, elle fit publier ses poèmes et ses lettres.

« Emily Dickinson Emily Dickinson grandit à Amherst, village du Massachusetts où elle naquit, vécut et mourut.

En 1847, elle passa un an au séminaire de Mount Holyoke et, bien qu'elle cultivât une grande spiritualité, le doute sur la foi chrétienne l'habita toujours.

Elle se lança dans la composition lyrique en 1850, inspirée par la poésie d'Emerson et d'Emily Brontë, rassemblant ses écrits dans des fascicules cousus main.

En 1850, elle débuta également deux séries de correspondances : avec le Dr Holland et avec Samuel Bowles.

Elle adressait de nombreux textes au Springfield Republican, mais bien que le journal s'intéressât à la littérature et publiât de temps à autre des poèmes, Dickinson ne parvint pas à enthousiasmer les éditeurs.

Seulement cinq de ses poèmes parurent de son vivant, tandis qu'un homme de lettres, Thomas Higginson lui affirma que ses textes étaient impubliables.

A l'issue de cette réponse, elle renonça définitivement à l'idée de se faire éditer, malgré les encouragements de sa famille Elle n'en continua pas moins d'écrire furieusement, produisant près de huit cents poèmes durant les années de la guerre de Sécession, en dépit de violents troubles de la vue.

Dans les années 1860, elle s'enfonça dans sa réclusion volontaire et la légende naquit autour de cette frêle silhouette vêtue de blanc qui ne s'aventurait jamais au-delà des murs de la propriété familiale.

Sa sœur Lavinia veillait jalousement sur sa solitude ; après la mort d'Emily, elle fit publier ses poèmes et ses lettres.. »

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